Nintendo a annoncé qu’à la fin de cette semaine, il aurait vendu 100 millions de Gameboy de par le monde en onze ans. Un double record : de vente, pour une console de jeu, et de longévité, pour un appareil informatique. Les clés de ce succès planétaire : une machine simple et économique à produire (processeur 8 bits, écran noir et blanc), une logithèque riche de titres aux personnages emblématique (Zelda, Mario, Pokemon) et une politique cohérente qui consiste pour Nintendo à continuer à proposer le produit au public tant que celui-ci le demande. A tel point que le géant japonais, qui a déjà dans ses cartons le successeur du modèle actuel, la Gameboy Advance, préfère retarder la sortie de cette dernière (du fait aussi de la pénurie actuelle sur les écrans LCD couleurs).
Si au cours des années, la Gameboy a connu quelques petites améliorations (boîtier plus fin, apparition de la couleur, arrivée de périphériques comme la caméra CCD), le coeur de la machine, lui, n’a pas bougé depuis sa création. De plus, la Gameboy peut se targuer d’avoir été le premier appareil portable connectable en réseau. En effet, dès son lancement, on pouvait relier deux Gameboy via un simple câble pour s’adonner à des parties multi-joueurs.
L’IA générative excelle dans plusieurs cas d’usage, notamment dans l’analyse, la recherche et la synthèse…
Trop tôt pour envisager d'acquérir un PC Copilot+ ? Les roadmaps d'Intel et d'AMD peuvent…
Dévoilés lors du CES 2025, les PC Copilot+ au format convertible restent encore limitée dans…
Les fonctionnalités de Gemini sont intégrées dans la suite bureautique Google Workspace. Conséquence : les…
Au CES 2025, les principaux constructeurs ont annoncé l'arrivée des ordinateurs de bureau dotés de…
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…