Le département de la Justice américain a réuni, le 24 février dernier, de grands groupes Internet afin d’étudier avec eux les moyens à mettre en œuvre pour faire barrage sur le Net aux groupes islamistes fondamentalistes, à l’image de la propagande à grande échelle développée par l’Etat islamique (EI) sur la Toile.
Le gouvernement américain, qui ne parvient pas à endiguer la puissance de frappe sur le Web des islamistes sur des réseaux ultra-populaires comme Twitter, souhaite mener une concertation avec la Facebook, Alphabet (Google), Apple, Microsoft, Snapchat et Twitter afin de mettre sur pied des actions efficaces et pérennes, rapporte Reuters. Des universitaires et des groupes d’influence ont également été entendus.
Les groupes Internet ont mis en place de leur côté quelques actions visant à réduire l’activité sur Internet des groupes extrêmistes djihadistes : ainsi , Facebook interdit les manifestations de soutien à des groupes jugés terroristes et Twitter a fermé plus de 125 000 comptes pour « promotion d’actes terroristes ».
« Le gouvernement américain reconnaît que les acteurs du secteur privé, qui comptent des ONG, des sociétés de réseaux sociaux et des producteurs de contenus, ont un rôle crucial à jouer pour développer des manières nouvelles et efficaces de discréditer le recrutement terroriste », a expliqué Marc Raimondi porte-parole de l’administration Obama.
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