Intel a fait la paix avec son rival AMD mais les procédures anti-trusts ne sont pas éteintes pour autant.
Aux Etats-Unis, la Federal Trade Commission (FTC) a initié une procédure pour dénoncer la prédominance d’Intel sur le marché des processeurs depuis une décennie.
Ses pratiques commerciales présumées abusives porteraient atteinte à la libre concurrence et renforceraient sa position monopolistique.
Dans le monde, on évalue régulièrement à 80% la part des ordinateurs individuels équipés en processeurs Intel.
De quoi irriter des concurrents directs comme AMD (qui a trouvé néanmoins un accord à l’amiable avec Intel pour enterrer la guérilla judiciaire) ou des spécialistes comme Nvidia (puces graphiques) qui « applaudit la décision de la FTC ».
Aux Etats-Unis, c’est l’Etat de New York qui a donné le coup d’envoi de la charge anti-trust en novembre. Intel est également visé par ces procédures similaires initiées par des Etats en Asie.
En mai, la Commission européenne a frappé fort contre la firme IT en infligeant une amende record de 1,06 milliard d’euros.
De son côté, Intel se défend et met en avant « les bénéfices apportés aux consommateurs » et ses efforts « d’innovation ».
Le groupe high-tech de Paul Otellini soutient que les fondements des accusations d’anti-trust émises par la FTC sont tronqués (« misguided »).
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