La Federal Trade Commission aurait sollicité Apple dans le cadre d’une enquête antitrust destinée à cerner les pratiques commerciales de Google.
La célèbre firme Internet de Mountain View est soupçonnée d’abus de position dominante, tout particulièrement via son moteur de recherche.
Un outil que l’on peut retrouver sur des terminaux Apple comme le smartphone iPhone et la tablette iPad.
Les autorités américaines avaient lancé une enquête à ce sujet il y a près d’un an.
Pour autant, les autorités régulatrices peinent toujours à déterminer la mesure dans laquelle l’incriminé orchestrerait une minutieuse mise en avant de ses contenus et services aux dépens d’une concurrence qui évoque nécessairement des pratiques anticoncurrentielles.
Interpellée à ce propos, la Federal Trade Commission cherche à comprendre pourquoi Apple se fait fort d’intégrer en standard, au sein de ses terminaux mobiles, Google Search, préféré à Microsoft Bing ou encore Yahoo Search.
Un bref flash-back cinq ans en arrière accouche d’un constat inéluctable : aucun modèle d’iPhone, depuis le premier sorti en 2007, n’a jamais dérogé à cette règle du plus plébiscité des moteurs de recherche. Idem pour l’iPad.
Laissés sur la touche, Microsoft et Yahoo voient leur taux de présence sur mobile accuser une chute significative, alors que les smartphones et tablettes d’Apple se taillent la part du lion, écoulés à plus de 200 millions d’exemplaires.
Google, actuellement 66,4% des requêtes Internet aux Etats-Unis, aurait généré, sur l’exercice 2011, quelque 1,3 milliard de dollars de revenus uniquement grâce à l’iPhone et dans une moindre mesure, l’iPad.
Apple se serait vu reverser 1 milliard de dollars.
En parallèle, les analystes s’accordent à reconnaître au Web mobile une forte percée sur les années à venir (25 à 30% du trafic à la fin de l’année).
A l’appui des témoignages de deux intéressés restés anonymes, Bloomberg affirme que la FTC s’est adressée à plusieurs autres constructeurs et opérateurs télécoms.
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