Inauguré début juin, l’App Center de Facebook n’était jusqu’alors accessible qu’aux Etats-Unis avec quelque centaines d’outils au compteur.
Il débarque en France en prenant le nom : « Espace Applications » dédié au réseau social.
Il est directement accessible à l’adresse suivante : www.facebook.com/appcenter.
Cette plate-forme centralisée élaborée sur le modèle d’une place de marché d’applications du type Apple App Store est accessible aussi bien sur PC que mobiles (iOS et Android).
Y sont regroupées des applications en tout genre étudiées pour se greffer directement dans la Timeline des utilisateurs de Facebook ou pour s’installer sur un smartphone, voire une tablette.
En tête d’affiche : le « social gaming » avec les titres phares de l’éditeur Zynga.
Du divertissement à l’information en passant par la musique et la photographie, les valeurs sûres tel Spotify (streaming) alternent avec des inconnus au bataillon et des étincelles parmi lesquelles le populaire Draw Something.
Dans une abondance d’applications à consonance anglophone, se distinguent quelques éditeurs français : Deezer pour la musique dans le cloud, Canal+ et MyTF1 pour le programme TV et la VoD, Le Figaro pour les informations, Cinémur pour les cinéphiles…
L’App Center offre également une visibilité accrue aux développeurs et constitue pour Facebook une source de revenus en matière de publicité mobile.
Le réseau social de Mark Zuckerberg ne cherche pas, pour l’heure, tant à se différencier de l’offre actuelle systèmes de notation, moteur de recommandations, etc.), mais davantage d’entrer de plain-pied dans l’ère des parcs applicatifs.
Aussi, pas de dépaysement à prévoir pour les développeurs, pour lesquels les contraintes sont proches de celles en vigueur sur les plates-formes concurrentes.
La soumission d’applications, qu’importe leur nature et leur modèle économique, implique toujours un contrôle qualité et le prélèvement systématique d’une commission de 30% sur tout achat, y compris « in-app », c’est-à-dire des contenus optionnels.
L’App Center ne prend d’ailleurs guère ses distances avec les ténors App Store et Google Play, vers lesquels le mobinaute sera automatiquement redirigé si une application requiert le téléchargement de données.
A terme, Facebook envisage d’héberger les fichiers d’installation sur ses propres serveurs, mais la démarche nécessitera du temps avant d’être effective.
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