Les lecteurs de la version électronique du Financial Times auront peut-être constaté avec dépit que les applications officielles pour iPhone et iPad ont disparu de l’App Store. Apple n’a pas renouvelé l’accord qui le liait au quotidien économique distribué dans 23 villes du globe.
Si la firme de Cupertino joue les langues de bois, il y a fort à parier que sa stratégie commerciale n’est pas étrangère à cette défection toutefois prévisible, tant les débats s’échauffaient depuis plusieurs semaines.
Aux racines d’une altercation qui a fini par s’éterniser, deux modèles économiques opposés et meurtris par des incompatibilités notoires que détaille MocoNews.
D’un côté, Apple, qui impose son magasin d’applications comme seul moyen d’abonnement, s’octroyant en conséquence 30% des revenus tirés de chaque souscription.
En face, le Financial Times et sa publicité ciblée, générée notamment en fonction de facteurs géographiques. Les informations fournies par chaque inscrit permettent aux annonceurs d’atteindre en plein cœur cette clientèle potentielle.
Mais Apple ne l’entend pas de cette oreille. Son formulaire d’abonnement est restreint au strict minimum et requiert de la part de l’utilisateur l’approbation consécutive de la communication des renseignements ainsi collectés. Les abonnés devaient donc donner leur accord pour qu’Apple communique au Financial Times leurs noms et e-mails…
Un manque à gagner qui a très certainement fait pencher la balance en faveur d’une distanciation vis-à-vis des plates-formes mobiles de la marque à la pomme.
Depuis juin dernier, le Financial Times propose en effet à ses abonnés de se livrer à l’exercice du feuilletage virtuel par le biais d’une interface flambant neuve, codée en HTML5.
Au menu, des fonctionnalités supplémentaires, un module de consultation hors-ligne et une compatibilité avec un pléthore d’OS, dont iOS, via le navigateur Web mobile Safari.
Une contrainte de taille s’impose toutefois : rediriger tous les lecteurs, quelques 500 000 fidèles de l’édition numérique, vers le site apps.ft.com.
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