Les épreuves du baccalauréat ont commencé il y a quelques jours et certains candidats pourraient délaisser les traditionnelles anti-sèches cachées dans les trousses ou dans les toilettes en utilisant leur téléphone mobile pour tricher.
Le ministère de l’Education nationale prend ce sujet très au sérieux, en publiant un communiqué, destiné notamment aux surveillants et aux lycéens passant le bac, qui précise bien qu’il est interdit d’utiliser son smartphone pendant les différentes épreuves de l’examen.
Mieux : ils devront être éteints et rester visibles par le surveillant de la salle, ou mieux : ranger dans les sacs qui seront regroupés au fond de la salle.
Car les smartphones restent un outil de choix pour la triche, en permettant de communiquer par SMS, d’enregistrer et de photographier ses cours ou encore de naviguer sur l’Internet mobile.
En cas de triche avérée, les candidats du baccalauréat risquent gros : dans le pire des cas, 5 ans d’interdiction d’examen d’état (comme le permis de conduire, par exemple) et d’inscription dans un établissement d’études supérieures. Au mieux, l’épreuve pendant laquelle le lycéen a été pris la main dans le sac est annulée, le tout assorti d’une note de 0/20.
En 2010, 272 cas de fraude au baccalauréat ont été recensés sur un peu moins de 600 000 candidats.
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