Après un débat passionné outre-Atlantique, le texte Year 2000 Act est devenu loi cette semaine. Le document, qui permet de limiter les dommages et intérêts exigibles auprès des industriels de l’informatique et de l’électronique, a été adopté par le président des Etats-Unis Bill Clinton. Sous quelques réserves toutefois. Le document n’a été paraphé qu’après que son administration eut apporté quelques modifications, afin de limiter sa portée anti-consommateurs. « C’est une législation étroite, limitée dans le temps et dédiée à un problème unique. Ma signature aujourd’hui ne reflète en rien le soutien des dispositions de l’Act dans un tout autre contexte », prévient Bill Clinton.
Cette signature est perçue comme une victoire par les industriels qui ont fait preuve d’un puissant lobbying pour limiter les poursuites à leur encontre. Les groupes de défense des consommateurs se plaignent de voir limiter les recours possibles lors de conflits avec des fournisseurs de matériels défaillants lors du passage à l’année 2000. De par ses dispositions, le Y2K Act vise surtout à freiner l’éclosion de procès dits « frivoles », à la légitimité douteuse et qui viendraient paralyser la justice, comme le souligne le président Clinton.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…