Tout le monde est mobile. Armé d’un appareil portable, n’importe quel salarié peut aujourd’hui réaliser tout ou partie de son travail à distance. Le professionnel y gagne en souplesse et en efficacité, l’entreprise en productivité. Mais pour qu’une stratégie mobile fonctionne, encore faut-il que les terminaux mobiles soient au diapason. Le constat peut sembler évident mais il est loin d’être anodin.
Car plus le nombre d’employés nomades augmente, plus l’entreprise est soumise au risque d’une interruption d’activité. Contrairement à un bureau traditionnel sur lequel elle peut intervenir rapidement en cas de problème, une panne sur un appareil potentiellement situé à plusieurs dizaines ou centaines de kilomètres peut largement allonger la durée de résolution du problème et donc la durée d’inactivité de son utilisateur.
Une nouvelle génération de pannes
Qui dit appareil mobile dit également nouvelles pannes à envisager. Il est assez rare de voir un PC fixe tomber du bureau et ne plus vouloir démarrer. Dès lors que l’on parle de PC portables, de tablettes ou de smartphones, la casse matérielle arrive en revanche fréquemment. Selon Gartner, les professionnels utilisent aujourd’hui en moyenne trois appareils différents pour travailler.
“Le TCO d’un matériel durci est inférieur de près de 46 %
à celui d’un appareil standard.”
Et le développement des « wearables » et de l’internet des objets devrait rapidement faire grandir ce nombre. Ce qui représente autant d’objets susceptibles d’être victime d’une mauvaise chute, d’une pluie un peu trop dense ou encore d’un insidieux nuage de poussière. La plupart des appareils ne sont en effet pas conçus pour faire face à des conditions extérieures plus rudes et imprévisibles qu’un environnement de bureau. D’après une étude menée par le cabinet VDC Research, il n’est pas rare que les entreprises constatent un taux de panne matériel supérieur à 50 %.
Une inspiration militaire
Une solution simple à mettre en œuvre consiste à privilégier le déploiement d’appareils mobiles durcis. Ces terminaux n’ont pas toujours bonne presse chez les utilisateurs, traînant derrière eux une image d’appareil lourd, inconfortable et à l’ergonomie parfois discutable. Une idée reçue bien éloignée de la réalité du marché actuelle. Les constructeurs proposent aujourd’hui des produits renforcés, respectant des normes de résistance habituellement appliquées au secteur militaire, et parfaitement adaptés aux attentes d’une population de travailleurs mobiles beaucoup plus variée.
L’achat de ce type d’appareil entraîne un surcoût pour l’entreprise en comparaison d’un produit grand public traditionnel. Mais l’investissement doit être évalué sur la durée. Toujours selon l’étude VDC Research, les systèmes durcis affichent un taux de panne trois fois inférieur aux appareils classiques. Non seulement leurs utilisateurs sont donc productifs plus longtemps, mais l’entreprise engage également moins de ressources en support et maintenance. Le TCO (coût total de possession) du matériel durci est ainsi inférieur de près de 46 %. Un paramètre à garder en tête au moment du renouvellement de votre parc.
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