L’achat d’une station de travail représente un investissement supérieur à celui d’un PC traditionnel. Ce surcoût a-t-il du sens pour votre entreprise ?
Dans le monde de la création numérique, l’efficacité des professionnels est intimement liée à la qualité du matériel et des logiciels dont ils disposent. Même l’ingénieur le plus compétent ne pourra concrétiser ses projets sans le support d’un système informatique performant. Sauf que dans beaucoup d’entreprises, ce potentiel est freiné par une infrastructure dépassée et incapable d’accompagner le métier.
“1,6 heure d’inactivité par semaine d’un designer coûterait 10 000 dollars
par an à son employeur.” Dunn and Bradstreet
Dépenser plus pour gagner plus
Les applications professionnelles de CAO/PAO réclament des configurations de dernière génération, à la fois puissantes et fiables. Et c’est bel et bien une question financière. Mises bout à bout, les minutes passées par un designer à attendre que sa machine exécute l’action demandée peuvent coûter cher à l’entreprise. Selon une étude réalisée par le cabinet Dunn and Bradstreet auprès d’entreprise du Fortune 500, 1,6 heure d’inactivité par semaine représente un coût de 10 000 dollars par an pour la société.
Dans ce contexte, les stations de travail présentent deux avantages. Le premier, et le plus évident, est celui de la performance. Les utilisateurs sont plus rapides et plus productifs au quotidien, offrant un time-to-market réduit pour les produits sur lesquels ils travaillent. Le second est celui du retour sur investissement (ROI, Return On Investment). Armée de ses capacités graphiques et de calcul beaucoup plus importantes qu’un PC traditionnel, la workstation sera capable de supporter la charge de travail sur une durée plus beaucoup plus longue.
Comment choisir ?
Des employés plus productifs, des machines plus durables, des produits plus rapidement sur le marché, de quoi compenser le surcoût généré par la station de travail. Reste à savoir vers quel produit se tourner. Premier critère de sélection, la carte graphique. Mieux vaut privilégier un composant capable de faire tourner vos applications critiques à plus de 30 FPS (images par seconde).
Côté processeur, la sixième génération d’Intel Core ou les produits de la gamme Xeon sauront répondre aux exigences les plus gourmandes. Des innovations intéressantes sont également à évaluer sur la mémoire vive. Dell a notamment développé une technologie baptisée Reliable Memory Technology (RTM), qui permet d’éviter les erreurs en plaçant en quarantaine les bits de mémoire défectueux avant qu’ils n’impactent le travail en cours.