Comment accéder aux métiers les plus porteurs
Le digital : entreprises, organismes de formations et candidats n’ont que ce mot à la bouche. Encore faut-il savoir quels sont les métiers vraiment porteurs et comment y accéder.
Bâtiment, assurance, agro-alimentaire, automobile, services… Le numérique n’est plus cantonné aux entreprises technologiques, mais se diffuse dans l’ensemble de l’économie. «Un bouleversement sans précédent puisqu’il va impacter 90% des métiers sur un laps de temps très court », affirme Godefroy de Bentzmann, le Président de Syntec Numérique. Dans le BTP par exemple, les entreprises recherchent activement des spécialistes de BIM (Building Information Modeling), les technologies de modélisation numérique des données du bâtiment.
Un enjeu bien perçu par les salariés et les chefs d’entreprise : 52% des employés et 30% des patrons estiment ainsi que la transition numérique est un enjeu «stratégique ou essentiel», d’après le dernier baromètre du CESI entreprises, un de principaux organismes de formation professionnelle en France. Et pourtant, 58% des salariés n’ont pas encore été formés aux outils numériques.
Face à ce constat, le CESI entreprises offre de multiples solutions pour rester dans le coup. Qu’il s’agisse de se reconvertir, se spécialiser, développer un champ d’expertise, ou mettre à jour ses compétences : chaque projet est décortiqué. « Nous construisons un parcours ‘à la carte’ en fonction du profil du candidat. Chaque salarié pourra choisir un module de compétence spécifique en fonction de ses attentes et des besoins de son entreprise», détaille Laurent Hamon, chef de projet informatique et numérique au CESI entreprises. Des formations qui s’adressent aussi aux jeunes avec des parcours en alternance.
Accompagner les évolutions de métiers en constante évolution
Mais comment suivre au plus près les transformations ultra rapides du secteur quand le secteur va si vite que les métiers les plus recherchés changent tous les ans. « Au CESI entreprises, nous menons régulièrement des enquêtes de terrain auprès des entreprises pour évaluer leurs besoins. Tous les cinq ans, nos formations sont revues pour les mettre en adéquation avec le marché». L’organisme s’appuie également sur une veille active et un fort maillage territorial (colloques, associations professionnelles régionales, offres d’emplois…).
Dernier point : des méthodes d’apprentissage innovantes. « Les candidats doivent non seulement acquérir des compétences techniques (logiciels, simulations…), mais aussi opérationnelles : comment collaborer entre les différents acteurs d’un projet, exploiter plus efficacement les ressources techniques, partager les connaissances…», détaille Aurélie Dumarche, chef de projet informatique et numérique. «Les cours sont scénarisés, mixant vidéo, e-learning, serious games, projets concrets…». Des pratiques qui demandent une forte implication des candidats et une certaine capacité d’adaptation de la part des candidats. Sur le marché dans son ensemble, le taux d’abandon des Mooc (cours massifs en ligne) frôle les 90%. D’où un indispensable accompagnement, comme le propose le CESI entreprise : https://www.cesi-entreprises.fr/formation-informatique .