Sursaut remarqué sur le marché des Chromebooks pour Acer.
Le groupe high-tech d’origine taïwanaise, qui n’avait plus donné signe depuis l’année passée et une première expérience en demi-teinte, revient dans la course avec le modèle C7.
Son principal argument, l’accessibilité tarifaire : 199 dollars (environ 187 euros TTC), c’est une première pour un Chromebook.
Dans cette gamme restée commercialement confidentielle (les ventes se chiffreraient en dizaines de milliers d’exemplaires), le dernier produit phare d’Acer était l’AC700, sorti en mai 2011.
Avec le C7, le format 11,6 pouces reste de mise, en 1366 x 768 points, pour environ 1,4 kg.
En revanche, à la base Intel Atom se substitue un processeur Core de 3e génération, composant bicoeur à 1,66 GHz, doté de 1 Mo de cache et d’une solution graphique GMA 3150 à 200 MHz.
Plus puissante, cette configuration se révèle aussi plus énergivore. Quand le CPU Atom N570 embarqué dans l’AC700 offrait une autonomie de 6 heures sur une charge, le C7 est limité à 3h30 d’utilisation dans les mêmes conditions.
L’expérience utilisateur, quant à elle, est toujours orientée autour des applications Web de Chrome OS, un système hébergé pour partie à distance, dans le cloud.
Google offre néanmoins plus d’espace de stockage en local. En l’occurrence, un disque dur de 320 Go supplante le SSD de 16 Go livré en standard sur la plupart des Chromebooks. L’offre Google Drive (100 Go gratuits pour 2 ans) reste en vigueur.
Pour 199 dollars sur le Play Store et chez certains distributeurs (Best Buy aux Etats-Unis ; Amazon, Currys et PC World au Royaume-Uni), le lecteur de cartes tombe à la trappe, au même titre que le modem 3G et l’interface DisplayPort.
On retrouve un connecteur Ethernet Gigabit, des sorties VGA et HDMI, 3 ports USB 2.0, le Wi-Fi 802.11n à 150 Mbit/s, ainsi qu’un port jack combinant entrée et sortie son.
Acer retrouve sa place dans un catalogue que monopolisait de longue date le seul Samsung, avec deux modèles à 239 et 449 dollars, respectivement en Intel Atom et Core.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…