Cloud : IBM au service de l’Open d’Australie
Pour la 19ème fois d’affilée, IBM sert les intérêts de l’Open d’Australie de tennis. En point d’orgue, un cloud privé couplé à des technologies d’analyse en temps réel ainsi qu’à des applications mobiles.
IBM proroge pour la dix-neuvième année consécutive son partenariat avec les organisateurs de l’Australian Open et dote ainsi le premier des quatre tournois du Grand Chelem d’un cloud privé, habilité au stockage et à la restitution d’informations en temps réel.
S’y adjoignent des applications mobiles (iOS et Android) par le biais desquelles les spectateurs ont accès au programme des confrontations, à des feuilles de scores, ainsi qu’à des informations pratiques.
Couplé à des technologies avancées d’analyse telles que la dénommée SlamTracker, cet ensemble retranscrit en direct des données propres à chacun des courts où se déroule un match de tennis.
Au-delà des statistiques de base que constituent la vitesse des services et le pourcentage de premières balles, le système prend en compte des variables comme le comportement et la stratégie des joueurs.
En vertu d’un tel accord, les contenus ainsi agrégés sont stockés au sein d’un environnement virtualisé hébergé à distance, en l’occurrence sur trois data centers situés aux Etats-Unis.
L’avantage d’un tel système réside essentiellement en sa fiabilité. Au contraire d’une architecture sur site, le nuage de Big Blue assure une disponibilité constante, notamment grâce à une réplication préventive des données.
DSI de l’événement, Samir Mahir résume ainsi, par l’entremise d’un communiqué : « La solution cloud privé offre le volume nécessaire de données. Elle est ouverte à quiconque dans le monde et à tout moment, sans aucun excès de la demande affectant sa qualité ou sa disponibilité. »
A cet égard, l’ensemble des tournois du Grand Chelem s’en sont dotés. En tête d’affiche, l’US Open (Flushing Meadows, au mois de septembre) a ouvert la voie au gazon de Wimbledon (Londres) ainsi qu’à la terre battue de Roland-Garros (Paris).
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