Confidentiels ITesprechô : La Poste, Windows-Linux, Symantec-Facebook, Be.com – Lagardère, TF1 News – Twitter – Elections, FranceSoir.fr, SiliconDSI…
Nouveau : découvrez les indiscrétions recueillies, captées, repérées par la rédaction d’ITespresso.fr. Un nouveau rendez-vous hebdo.
FranceSoir.fr explique le faux scoop de Johnny Halliday
Avec la relance du quotidien France Soir (la nouvelle version est en kiosque depuis le 17 mars), le site Internet du quotidien affiche son intention de reprendre de la vigueur. « Ce site est donc une version Bêta. Il sera enrichi dans les semaines qui viennent de nombreux services. Certains classiques (météo, astrologie), d’autres inédits (dans les domaines des courses, du sport et de l’interactivité) », peut-on lire. Mais la recherche du scoop à tout prix peut jouer des tours. Ainsi, la publication de photos en une dans l’édition papier du jour (19 mars) consacrée à Johnny Halliday passant ses vacances en famille à Saint-Barthélémy a tourné au scandale. Les clichés émanant de l’agence AbacaPress n’étaient tout simplement pas d’actualité. Dans un communiqué de presse accessible vendredi soir sur la page d’accueil de FranceSoir.fr, la direction du quotidien se déclare « extrêmement désolés de cette méprise ». Rappelons-nous de cette citation de Pierre Lazareff, fondateur de France Soir : « Une information plus un démenti, ça fait deux informations ! »
Twitter – Elections régionales : TF1 News répond à TheInquirer
On pourrait appliquer le fameux adage de Pierre Lazareff à TheInquirer.fr (le blog-média « poil à gratter » du groupe NetMediaEurope, éditeur d’ITespresso.fr). A la suite d’une contribution sur la publication précoce des résultats du premier tour des élections régionales sur Twitter, Pascal Emond, Directeur Adjoint Internet et Radio de TF1 News, a déposé un commentaire intéressant pour préciser son point de vue. « Il est (…) faux de dire que « le boss de TF1 News n’aime pas Twitter » que de prétendre qu’Internet est responsable de toutes les dérives de l’information », peut-on lire. « Quand un journaliste adopte une ligne, elle doit être claire, assumée courageusement, et valoir sur tous les supports sur lesquels il s’exprime », poursuit Pascal Emond. « Cela n’a pas été le cas dimanche soir pour certains de mes confrères ». On l’avait effectivement remarqué avec un syndrôme de tweets temporaires. Le deuxième tour des élections régionales via Twitter s’annonce palpitant…
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