Facebook est-il vraiment désolé de la polémique provoquée par l’étude universitaire sur « la preuve expérimentale de la contagion émotionnelle à grande échelle via les réseaux sociaux » réalisée en 2012 avec la participation de 700 000 membres sans accord au préalable ?
En visite en Inde, Sheryl Sandberg, COO de Facebook, est revenue hier sur ce test via le réseau social et ses « modalités audacieuses » alors qu’elle intervenait à la chambre de commerce et d’industrie de New Delhi. Il faudrait nuancer les excuses faîtes à cette occasion.
Selon les propos recueillis sur place par le Wall Street Journal, la numéro 2 de Facebook a déclaré : « Comme le font des entreprises de recherche en permanence, nous testons différents produits mais voilà comment ça s’est passé : la communication a été mauvaise (…) et pour cette communication, nous nous excusons. Nous n’avons jamais cherché à vous déranger. »
Ce n’est pas sur la manière dont l’étude a été organisée mais sur sa communication que les regrets portent.
Plus tôt dans la semaine, alors que l’Autorité britannique en charge de la protection des données personnelles (ICO) annonçait l’ouverture d’une enquête, Richard Allan, en charge des affaires règlementaires pour Facebook en Europe, considérait que l’étude avait été menée en prenant en compte des « protections appropriées ». Tout en reconnaissant que « le réseau social doit améliorer ses process à l’avenir. »
Credit photo : page Facebook de Sheryl Sandberg – Visite en Inde
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