Avec la DeLorean, c’est le moyen de transport de référence des fans de la trilogie Retour vers le futur : le hoverboard, cette planche de skate sans roulettes, refait régulièrement parler de lui au travers d’initiatives dans le monde universitaire ou de projets indépendants parfois exposés sur des plates-formes de financement participatif.
La température est montée d’un cran après la publication, par Lexus, d’une vidéo de teasing présentant un modèle baptisé SLIDE. Les équipes européennes du constructeur automobile (groupe Toyota) plancheraient depuis près de deux ans sur ce produit qui devrait faire l’objet d’un test « sur le terrain » au cours de l’été, à Barcelone, par un skater professionnel.
A défaut d’une démonstration grandeur nature, le principal élément à retenir du teasing est d’ordre technique : le hoverboard semble flotter au-dessus du béton, sans dépendre d’un rail aimanté.
C’est là le principal défi en l’état actuel : un tel skateboard ne peut théoriquement fonctionner que s’il est doté d’aimants surpuissants (les supraconducteurs) qui opposent une résistance à d’autres aimants positionnés au sol, sur une surface conductrice.
Cette technologie de propulsion est exploitée par les quelques prototypes fonctionnels que l’on a vu émerger ces dernières années, sans jamais qu’ils soient commercialisés vue leurs limites et leur coût (par exemple, plus de 10 000 dollars pour un modèle lancé fin 2013).
D’après Gizmodo.com, Lexus utilise le même système, mais assure gagner en efficacité au niveau du système de refroidissement, à l’azote liquide – d’où la fumée qui se dégage dans la vidéo.
Le teasing s’arrête néanmoins avant que quiconque ait pu monter sur la planche. Difficile, donc, de juger comment la question du poids sera gérée. Pour l’heure, cela requiert beaucoup d’énergie : 40 W par kg sur l’un des prototypes d’Arx Pax.
L’entreprise californienne, relativement avancée dans le domaine, est parvenue à lever, l’année passée, 510 000 dollars sur Kickstarter pour son hoverboard Hendo… dont l’autonomie ne dépasse pas 10 minutes, malgré le recours à une surface semi-conductrice, donc moins énergivore.
Crédit photo : Will Rodrigues – Shutterstock.com
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