Dell gonfle sa gamme XPS d’un nouveau représentant dans la veine des notebooks actuels. Sans étincelle, le 14z se pare d’une configuration matérielle cohérente et offre quelques options logicielles dans l’air du temps. En attendant les ultrabooks.
A près de 2,5 centimètres d’épaisseur, la finesse reste une notion toute relative. Les quelques 2 kilos affichés sur la balance ne sont pas pour contredire une mobilité à peine retrouvée, dont Dell se veut pourtant l’instigateur.
Ce n’est pas faute d’avoir optimisé l’espace disponible, notamment avec cet écran sans bordure. Une telle intégration sans compromis esthétique permet de caser une dalle de 14 pouces dans un châssis censé accueillir un panneau de 13 pouces.
La résultante ne semble pas en pâtir et le tableau ne s’en porte que mieux : au menu, une résolution typique de 1366 x 768 points, la technologie Intel Wireless Display et un GPU intégré à 512 Mo de mémoire partagée.
La carte graphique indépendante Nvidia GeForce GT 520M (1 Go de GDDR5) est en option. Elle soulagera nécessairement le double coeur des processeurs Intel Core i5 et i7 d’un traitement graphique intense.
Côté RAM, c’est du classique, avec par défaut un module de 4 Go de DDR3 à 1333 MHz. Le tout est extensible à 8 Go via un second emplacement, vacant par défaut.
C’est le stockage de masse qui franchit un seuil, non pas de performances, mais d’espace. Le modèle haut de gamme embarque ainsi un SSD à 256 Go, quand son équivalent moins onéreux intègre un disque dur SATA de 750 Go à 5400 rpm.
Plus anecdotique, le lecteur optique délaisse le sempiternel chariot de chargement pour adopte un système de mange-disque. Il s’accompagne d’un concentrateur USB qui ne propose qu’un port à la norme SuperSpeed, ses deux homologues se cantonnant au vieillissant standard 2.0.
Pour sa défense, le Dell XPS 14z (qui, étrangement, fait suite au 15z) met en lumière son clavier rétroéclairé et une batterie à 8 cellules dont l’autonomie avoisine les 7 heures.
Rien de tranchant, toutefois. Les nouveaux MacBook Pro en font autant, à titre comparatif, mais dans une tout autre échelle tarifaire.
Le désert logiciel est plus alarmant. On retrouve comme à l’accoutumée le système d’exploitation Windows 7 Home Premium, agrémenté d’une interface multimédia dénommée Dell Stage.
A cette surcouche s’ajoute Nero SyncUp, application destinée à synchroniser des données personnelles, mais uniquement vers les autres machines du réseau qui disposent également d’une instance de ce même logiciel.
Un coup d’épée dans l’eau à l’heure où pullulent les serveurs domestiques, les services d’hébergement en ligne et les solutions universelles dérivées ?
Passé ces considérations, il ne reste qu’à se faire une idée et se rendre, le cas échéant, sur la boutique en ligne de Dell, à compter du 15 novembre. Le modèle de base (CPU à 2,4 GHz) y sera proposé à 899 euros TTC.
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