La 17ème mouture majeure de la distribution Linux Fedora est sur les rails.
Cloud, sécurité, refonte du noyau et de l’environnement de développement, gestionnaire Gnome retravaillé… les nouveautés sont légion, essentiellement au bénéfice des programmeurs et des clients Red Hat.
Mise à jour en version « Essex », la pile OpenStack s’enrichit d’un meilleur outil de gestion des disques durs virtuels, d’une interface de contrôle Horizon dite plus intuitive et de la dénommée Quantum, une composante de virtualisation du réseau.
En outre, Fedora 17 améliore le taux de disponibilité des clusters et y associe Diet.
Développé à l’initiative de Sysfera et EDF, ce toolkit permet de gérer différents aspects d’une grille de PC, en l’occurrence les utilisateurs connectés, les tâches exécutées et les données en transit.
La sécurité n’est pas en reste, avec l’utilisation en standard de DNSSEC (Domain Name System Security Extensions) dans la procédure d’appel aux serveurs de noms de domaine.
Deux solutions pour virtualiser des applications en développement : une librairie ou le recours, via un outil en ligne de commande, à l’hyperviseur KVM.
Côté plate-forme, la limite de 16 To par volume propre au système de fichiers ext4 est portée à 100 To, avec prise en charge du Btrfs et ses options avancées de reconstruction des configurations RAID.
L’émulateur Qemu peut maintenant migrer des machines virtuelles à chaud.
Plus proche d’Android, le noyau Linux 3.3.4 simplifie l’association des interfaces Ethernet (« teaming »), la mise en place de commutateurs réseau logiciels (Open vSwitch), la gestion de l’énergie et le support de l’ACPI.
Pour l’utilisateur final, les environnements Gnome 3.4 et KDE 4.8 offrent un scrolling plus fluide, le contrôle tactile multitouch et l’autocomplétion, seulement en langue anglaise, précise Silicon.fr.
Les développeurs se délecteront d’un environnement dédié à la création de logiciels Windows, d’une version allégée du serveur d’applications JBoss AS 7 et d’une kyrielle de modules : D2, GCC 4.7.0, Erlang R15, Haskell Platform 2011.4, PHP 5.4, OpenJDK 7 et Ruby 1.9.3.
Crédit image : © julien tromeur – Fotolia.com
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