Après l’arrivée du premier Kindle en France en octobre dernier, Amazon rendra disponible son e-book grande taille, le Kindle DX sur le territoire français et dans 99 autres pays à partir du 19 janvier.
Proposé aux Etats-Unis depuis mai dernier pour 489 dollars, ce Kindle DX dispose d’un écran de 9,7 pouces (25cm) en diagonale, contre 6 pouces (15 cm) pour le précédent modèle et fait moins d’un centimètre d’épaisseur.
Principal atout, en plus de son format : ce lecteur de livres électroniques est particulièrement adapté à la lecture de pages en grand format, en mode vertical ou horizontal.
Malgré un écran qui reste en noir et blanc, les capacités de stockage du Kindle DX ont été gonflées, atteignant ainsi les 3,3 Go, ce qui représente près de 3 500 e-books à stocker.
Doté d’un modem 3G, pour télécharger les ouvrages ad hoc, le lecteur d’e-books d’Amazon va bénéficier, en France, d’un accord d’itinérance (roaming) avec l’opérateur américain AT&T.
Une librairie électronique toujours majoritairement anglophone
En revanche, gros point noir : la librairie en ligne d’Amzon, baptisée Kindle Store, ne propose quasiment que des ouvrages en langue anglaise (300 000 au total). Un frein de taille pour les consommateurs français qui ne sont pas bilingues…
En effet, pratiquement aucun éditeur français n’a choisi, pour le moment, de conclure des accords de distribution avec Amazon, compte tenu des obligations imposées par l’e-commerçant, qui retient pour lui 70% du prix de vente d’un e-book et n’en reverse que 30% aux éditeurs.
En outre, parmi les 100 journaux et magazines proposés sur le Kindle Store, les lecteurs français ne pourront que se procurer, en langue française, les versions électroniques des quotidiens Les Echos et Le Monde…
Si Amazon refuse toujours de dévoiler le nombre de ventes de ses Kindle, aux Etats-Unis comme à l’international, le cabinet Forrester Research estime que, sur le territoire américain, Amazon s’octroie une part de marché de l’ordre de 60% contre 35% pour Sony.
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