e-Musique : Beezik réussit le grand chelem avec le ralliement de Warner Music
Avec l’accord signé avec Warner Music, Beezik fanfaronne. C’est la seule plateforme qui propose de télécharger gratuitement et légalement 8 millions de titres d’artistes en provenance des 4 majors.
Beezik pousse encore plus loin l’offre de musique légale disponible sur Internet en s’appuyant sur les majors.
D’ici fin septembre, le service en ligne français de téléchargement gratuit de musique s’engage à intégrer l’intégralité du catalogue de Warner Music.
Les membres de Beezik pourront accéder aux répertoires des artistes tels que les Red Hot Chili Peppers, Muse, Green Day, The Black Keys, Birdy, Tal, Shy’m, Skrillex, BB Brunes ou encore Flo Rida.
C’est un volume de 8 millions de titres en provenance des 4 majors (Universal Music, Sony Music, EMI et Warner Music) qui seront désormais proposés en téléchargement sur Beezik.
Sans oublier la contribution de plusieurs labels indépendants
Le modèle économique de Beezik est original : le téléchargement est gratuit mais il faut accepter d’être soumis à la publicité.
En mars 2012, Beezik a intégré le groupe Ebuzzing (publicité et médias sociaux) pour gagner en viralité.
« Cet ingénieux modèle et la qualité du format publicitaire de Beezik ont permis de trouver l’équation capable de financer de façon rentable la musique en ligne« , assure Jean Canzoneri, Président de Beezik, cité dans le communiqué.
« Avec Warner Music, Beezik est désormais la seule plateforme au monde à proposer aux internautes de télécharger gratuitement et légalement plus de 8 millions de titres d’artistes provenant des catalogues de toutes les majors. »
De son côté, Thierry Chassagne, Président de Warner Music France, semble convaincu du « modèle de Beezik inédit et attractif ».
Avec plus de 3 millions d’utilisateurs inscrits, 1 million d’applications mobiles téléchargées et plus d’1,5 millions de titres téléchargés chaque mois, Beezik revendique la place de premier site de téléchargement de singles monétisés par la publicité en France (les albums ne sont pas concernés).
Et Beezik ne compterait pas s’arrêter à la musique. Bientôt le cinéma ?
Il explique que le succès de son modèle pousse à son adoption dans d’autres domaines « premium » et qu’il a en outre développé une plateforme de monétisation, baptisée BeeAD.
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