Pour Klout, l’année 2012 s’ouvre sur une encourageante levée de fonds.
Le fonds d’investissement Kleiner Perkins Caufield & Byers (KPCB) injecte 30 millions de dollars dans le capital de la start-up de San Francisco, spécialiste de l’e-réputation.
Elle a développé sa notoriété en établissant un indicateur de mesure d’influence sur le Web 2.0.
En janvier 2011, Klout a déjà effectué un tour de table de 11 millions de dollars.
Sous la bannière « sFund », KPCB y avait déjà participé avec la collaboration de Greycroft Partners.
Des investisseurs individuels (business angels) comme Asset Management, Paige Craig (BetterWorks), Howard Lindzon (StockTwits), Thomas McInerney (TGM), Bobby Yazdani (Saba), Shervin Pishevar (1% of Nothing) étaient également dans la boucle.
Désormais valorisée à 200 millions de dollars, Klout entend améliorer ses services dans leur ensemble, des suites d’une refonte radicale de son interface Web, une démarche qui a suscité un courroux généralisé.
Le service qui surfe sur la vague 2.0 fait fi des contestations et s’attache désormais à fidéliser les entreprises et organisations aguichées depuis sa création en 2008.
A l’appui d’outils de mesure en temps réel, Klout détermine l’implication et l’influence d’un individu ou d’une marque sur le Web, tenant tout particulièrement compte des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn…) et des plates-formes communautaires (Flickr, YouTube, Blogger).
Il en résulte un indice compris entre 0 et 100, ainsi qu’un profil sommaire que complémente un qualificatif (explorateur, informateur, conciliateur, médiateur…) qui situe l’internaute dans la foule de ses semblables.
L’éclosion de plates-formes alternatives remettent néanmoins en cause l’apparente polyvalence du service et le sentiment de toute-puissance qui en découle.
D’autant plus que l’ensemble relève d’une imperméabilité soviétique. Impossible de déterminer quels paramètres Klout prend en compte, ni pourquoi un score peut subitement baisser, sans explication.
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