Entre application mobile et géolocalisation, la recherche de place de parking pour garer son véhicule est devenu un business numérique. Le groupe suédois EasyPark monte un réseau européen à coup d’opération de croissance externe. Son développement passe par la France.
Il vient d’annoncer le rachat de la start-up Mobile City, installée à Metz. Ce spécialiste dans le paiement mobile pour le stationnement avait intégré le portefeuille du fonds de capital-risque Heidelberg Capital. Le montant de la transaction de Mobile City par EasyPark n’a pas été précisé mais Le Figaro évoque un montant situé entre 3 et 5 millions d’euros.
Cette acquisition permet au groupe acquéreur venu du Nord de l’Europe de s’installer par la petite porte dans 7 villes de France (via Urbis Mobile, un service proposé par Urbis Park SA et Mobile City SARL) : Bordeaux, Metz, Laval, Mulhouse, Nancy, Montigny-Les-Metz et Mondelange.
« La France sera la neuvième conquête européenne du Groupe EasyPark. Sa présence sera consacrée dans près de 500 villes avec l’appui de 100 opérateurs de parcs de stationnement à l’issue de la migration des services », évoque Johan Birgersson, CEO d’EasyPark qui peut se targuer de disposer de couvertures (partielles) dans des pays nordiques comme Suède, le Danemark, la Finlande et la Norvège mais aussi l’Allemagne, l’Espagne, l’Autriche, l’Italie et…l’Australie.
« Avec le rachat de Mobile City, nous serons mieux à même d’exécuter cette stratégie triplement gagnante pour les automobilistes, les villes et les opérateurs, fort d’une couverture plus étendue, d’une envergure décuplée et de technologies plus robustes », poursuit Johan Birgersson, cité dans le communiqué.
En mai, EasyPark a procédé au rachat d’une start-up d’origine israélienne et spécialisée dans les data associées au stationnement de véhicules : Parko (qui était jusqu’ici soutenue par OurCrowd, spécialiste de l’équity crowdfunding en Israël).
La création d’EasyPark à Stockholm remonte à 1999. En février 2012, la société suédoise est tombée dans le portefeuille du fonds Verdane Capital Partners. Mais, globalement, en essayant de retracer l’historique, on ignore le niveau des investissements consentis pour faire émerger EasyPark en Europe.
En France, les acteurs sur ce segment de la mobilité urbaine ne manquent pas : on peut citer pêle-mêle des start-up comme Drop don’t park ou Ector (service de voituriers), Path to Park (Parkeon), OnePark (soutenue par la SNCF), Zenpark et Parkadom (parking partagés)…
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