Dans une ère de convergence marquée par l’émergence de nombreux facteurs de forme, au carrefour de l’ordinateur personnel et de l’informatique nomade, le Tablet PC a toujours sa place au catalogue de HP, avec l’EliteBook Revolve.
En perpétuant cette tradition avec une 9e génération de produits, le groupe high-tech américain confirme son attrait pour les terminaux hybrides.
Son meilleur allié dans la démarche reste Windows 8, dont l’interface graphique se prête au contrôle tactile sur l’écran de 11,6 pouces (1366 x 768 points).
Celui-ci, quoique indissociable du clavier rétroéclairé, est presque un électron libre : il repose sur une charnière centrale autour de laquelle il pivote à 360 degrés sur l’axe horizontale (uniquement dans le sens antihoraire).
A la verticale, il peut se rabattre sur l’une ou l’autre de ses faces, pour le transport ou l’utilisation « en mode tablette », avec néanmoins un châssis imposant, de 22 millimètres d’épaisseur pour environ 1,4 kg.
Dans la lignée des Tablet PC de la marque, le coeur de cible de cet EliteBook reste l’entreprise. Témoin cette coque de magnésium gratifiée du standard MIL-STDG810, garantissant une protection face aux vibrations, aux chutes et aux chocs thermiques.
Même constat avec le revêtement Gorilla Glass 2 appliqué à l’écran, mais aussi avec le stockage sur SSD (jusqu’à 256 Go) et des processeurs Intel Core, modèles i3, i5 ou i7.
Ces composants bicoeurs prennent en charge un maximum de 12 Go de RAM, l’USB 3.0 (2 ports) et l’accélération graphique sur l’interface DisplayPort.
Si la connectivité inclut l’Ethernet Gigabit, le Wi-Fi 802.11n à 150 Mbit/s et une puce NFC (Near-Field Contact) pour les communications à courte portée, le modem 3G/4G reste affiché au catalogue des options. C’est aussi le cas du stylet.
Livré sous Windows 7 Pro ou Windows 8, cet EliteBook Revolve s’assortit de solutions d’administration qui satisferont essentiellement aux besoins des petites entreprises.
L’offre inclut Client Management pour la télédistribution de logiciels et la gestion de conformité des flottes, Custom Integration pour le déploiement de masters et Client Security pour exploiter le chiffrement, la protection du BIOS ou encore le TMP (module de plate-forme sécurisée).
Le lancement commercial ne devrait pas intervenir avant mars, aux Etats-Unis. Seul tarif gravé dans le marbre (499 dollars), celui d’une station destinée à recharger jusqu’à 10 appareils sur une même prise électrique.
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