Depuis cinq ans, il existe une déclinaison de l’OpenCoffeeClub en France.
La branche parisienne est co-animée par Eric Dubois, qui a fondé sa propre structure de conseils et d’accompagnement de start-up pour élaborer leurs stratégies commerciales (Erwood).
Les rencontres OCC permettent de rencontrer des acteurs de l’écosystème du Web (Net-entrepreneurs, investisseurs, avocats…) et de partager ses expériences.
La genèse de ces sessions thématiques liées à l’IT, tout en restant dans un cadre informel, remonte à mars 2007 dans le Starbucks de Regent St à Londres.
Le mouvement avait notamment été initié par Saul Klein. L’ancien Vice-Président en charge du marketring chez Skype vient d’ailleurs de rejoindre le fonds d’investissement Index Ventures en tant que partner. Il est également l’un des deux principaux instigateurs du SeedCamp (réseau européen de soutien aux start-up).
Les sessions OCC sont régulières. Et la prochaine à Paris (jeudi prochain*) est d’actualité.
Alors que David Cameron, Premier Ministre britannique, se déclare prêt à accueillir les entrepreneurs français lassés du taux d’imposition des sociétés jugé élevé (« roll out the red carpet »!) et que LeWeb Londres vient de s’achever, l’OpenCoffeeClub accueillera Michael Ward, en qualité de Ministre conseiller aux affaires commerciales et aux investissements pour la France, Directeur Régional pour les Investissements Etrangers EMEA, rattaché à l’Ambassade de Grande-Bretagne à Paris.
Il viendra expliquer pourquoi il est intéressant pour les entrepreneurs et start-up de l’OpenCoffeeClub de Paris d’investir au Royaume-Uni, d’installer sa société avec les critères suivants: « Low tax, less regulation, talented workforce ». (Interview réalisée par mail)
ITespresso.fr : Comment animez-vous l’OpenCoffeeClub Paris ? Quelle est la vocation de ces réunions ?
Eric Dubois : L’objectif initial est de disposer de lieux de rencontre habituels, ouverts et reconnus, où entrepreneurs et investisseurs (et quiconque a envie de s’y joindre) peuvent se réunir de manière totalement informelle.
C’est très enrichissant. Le lieu ne doit pas être unique, privé et fermé (bureau privé, club, etc.).
On doit pouvoir voyager dans le monde et connaître les endroits (et heures) où on a des chances de rencontrer d’autres entrepreneurs et investisseurs.
Au départ, dans l’euphorie du Web, aucune animation n’était nécessaire. Mais, avec la maturation du marché et l’émergence d’une offre complémentaire (incubateurs d’écoles d’ingénieurs et de commerce, la Cantine à Paris, Startup Weekends …), il s’avère les membres de l’OCC – des entrepreneurs en grande majorité – sont désormais plus friands de sessions où des professionnels de l’écosystème interviennent.
Chaque jeudi matin, un sujet pragmatique est proposé : « Comment lever des fonds ? », « Comment structurer juridiquement sa start-up? », « Quelle stratégie de référencement ? », « Quels écueils à éviter quand on créé sa société », « Quelle stratégie sur les réseaux sociaux « …
(Lire la fin de l’interview page 2)
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