Englué dans un scandale qui le désigne comme responsable d’une infraction aux lois de la confidentialité sur Internet, Facebook se serait engagé, auprès du blogueur australien qui a découvert la supercherie, à y remédier durant la journée du 28 septembre. Les ingénieurs promettent d’opérer une modification des cookies espions impliqués dans la démarche.
Ces petits fichiers un peu trop curieux sont pourtant monnaie courante sur le Web. Ils regroupent des informations censées faciliter l’identification et le suivi des internautes.
De nombreux sites en stockent temporairement sur les machines clientes lors de chaque session de surf sur Internet. Mais leur suppression ou leur désactivation automatique doit être effective dès lors que l’utilisateur ferme son navigateur.
Or, le dénommé Nik Curlovic a établi un tout autre constat au sujet des cookies de Facebook, actifs en permanence, en désaccord avec la législation.
Peut-être utilisés à des fins publicitaires, les renseignements ainsi collectés sont régulièrement envoyés vers les serveurs du réseau social de Mark Zuckerberg.
Cette découverte a pris une telle ampleur qu’une part non négligeable des membres ont fait part de leur inquiétude, voire d’une volonté affirmée de supprimer leur compte.
Dans l’optique de tempérer cette colère montante, le coupable reconnu s’est repenti d’un appel téléphonique adressé au même Nik Curlovic.
L’intéressé évoque une conversation d’une quarantaine de minutes durant laquelle il lui a été confirmé « qu’il y aura toujours des cookies, mais plus utilisés aux fins actuelles« .
Les ingénieurs procèderaient, en parallèle, à la modification de deux autres fichiers. Mais le conditionnel reste de mise…
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