Forfait mobile : Futur Telecom divise la note entre employeur et salarié
Futur Telecom délivre, sur réseau, SFR un forfait mobile dont la facturation a la particularité d’être répartie entre employeur et salarié.
Futur Telecom* s’appuie sur le réseau SFR, filialisé depuis 2005, pour délivrer son forfait mobile « Futur illimité partagé« , dont la facturation a la particularité d’être répartie entre employeur et salarié.
Il s’agit d’une formule unique avec voix/SMS en illimité et 3 Go d’Internet mobile, divisée entre les deux parties d’un point de vue comptable.
L’entreprise qui souhaite équiper ses collaborateurs contribuera en l’occurrence à hauteur de 29,50 euros HT par mois et par ligne.
Pas de subvention de terminaux, mais le catalogue inclut un large choix de références : Nokia 113 ou Lumia 510, Wiko Cink Slim, Samsung Galaxy S3/S4 et Ativ S, BlackBerry Z10 et Curve 9320, HTC One…
Le salarié règle pour sa part 19 euros TTC par mois, avec à sa charge le surcoût lié aux appels à l’international. Le dépassement de consommation data se traduit par une limitation de la bande passante.
« Actuellement, les appels personnels du salarié depuis une ligne mobile professionnelle doivent être soumis aux règles des avantages en nature, ce qui est très lourd administrativement« , souligne Gilles Brunschwig, directeur général de Futur Telecom.
L’offre « Futur illimité partagé » vise à éclipser cette problématique en simplifiant, pour les entreprises, la gestion des appareils mobiles de leurs employés, tout en libérant ces derniers des contraintes liées à l’usage de leurs téléphones portables dans un cadre professionnel.
Un certain nombre de questions se pose néanmoins du côté de l’utilisateur, si celui-ci quitte l’entreprise (conserve-t-il son forfait ?) ou s’il est déjà engagé auprès d’un opérateur (qui supporte les frais de rupture de contrat ?), etc.
Autant de questions qui devront, comme le note Silicon.fr, avoir trouvé réponse du côté des deux parties.
* Créé en 1997, Futur Telecom revendique aujourd’hui 20 000 clients, essentiellement des PME, et a affiché un chiffre d’affaires, « en croissance continue », de 50 millions d’euros en 2012.
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