Au coeur de son marathon juridico-médiatique, Free Mobile ouvre une parenthèse technologique et réserve à l’intégralité de ses abonnés un catalogue de 7 téléphones mobiles proposés à prix coûtant.
Attendu pour le 27 janvier, l’iPhone 4S est toujours aux abonnés absents. A contrario, Samsung, ambassadeur d’une forte dominance circonstancielle d’Android, fait une apparition remarquée avec trois terminaux.
Impliqué en parallèle sur nombre d’autres fronts tels que l’expédition des cartes SIM et la portabilité, Free Mobile éclipse cette offre somme toute modeste pour mettre l’accent sur la diversité des genres (d’Android à BlackBerry, avec le Curve 3G) et l’éclectisme d’une gamme échelonnée de 49 euros (ZTE F160) à 220,76 euros (Samsung Galaxy Ace).
En attendant l’avènement du Galaxy S II, actuellement « en attente de livraison« , le haut de gamme s’affiche en retrait. L’offre globale n’en est pas pour autant dénuée d’intérêt pour le consommateur final.
Passé le comparatif de rigueur face aux formules subventionnées des trois acteurs historiques du marché, les gains se réduisent à peu de chagrin, mais la liberté du sans engagement fait pencher la balance en faveur de Xavier Niel.
Le P-DG d’Iliad annonce en parallèle la mise à disposition d’une interface de suivi en temps réel des consommations SMS / MMS, voix et données.
Certains clients auteurs d’un allègre dépassement du quota des 3 Go mensuels n’ont d’ailleurs pas manqué de manifester leur étonnement, alors que le commun des mobinautes considérait cette barrière comme quasi infranchissable.
D’autres utilisateurs ont fait part de leur déception, n’ayant toujours pas reçu leur carte SIM plusieurs semaines après avoir passé commande.
A cet égard, Free Mobile annonce l’expédition de 80 000 unités quotidiennes à compter de ce week-end. Les plus lésés des usagers pourraient se voir octroyer un numéro provisoire.
Un tel afflux de clients a pris de court l’ensemble des acteurs de la téléphonie mobile.
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