Freebox Delta : un bon choix pour l’entreprise ?
La Freebox Delta peut-elle être une solution pour connecter sa PME ? Comparatif avec les offres professionnelles de Orange, SFR et Bouygues Telecom.
Freebox Delta, Mini, Crystal ou Révolution ?
Outre la Freebox Delta, on trouve, au catalogue, les forfaits :
- Freebox One (39,99 € TTC par mois, incluant une remise de 10 € par mois pendant un an).
Il inclut Freebox TV et Netflix, la box faisant office de boîtier TV. Les débits maximaux annoncés en fibre s’élèvent à 1 Gbit/s (réception) et 400 Mbit/s (émission). Souscrire sans Freebox TV est possible, là aussi par téléphone. Le prix passe alors à 37 € TTC par mois. - Freebox Révolution (35,98 € TTC par mois).
L’offre est disponible pour 44,99 € TTC par mois (incluant une remise de 25 € par mois pendant un an), sans Freebox TV ni Netflix, mais avec TV by Canal Panorama. - Freebox Mini 4K (34,99 € TTC par mois, incluant une remise de 20 euros par mois pendant un an).
Sont incluses les communications vers les fixes des mêmes destinations que pour la Freebox Delta. Les appels vers les mobiles sont en option (2,99 € TTC par mois vers la France métropolitaine). - Freebox Crystal (24,99 € TTC par mois).
Non disponible sur fibre. La téléphonie est en option, tout comme Freebox TV (4,99 € TTC par mois). Il faut compter 35,98 € TTC par mois en zone ADSL non dégroupée.
Les abonnés Freebox peuvent bénéficier de réductions sur les forfaits mobiles Free. Celui à 2 € TTC par mois passe à 0 € ; celui à 19,99 € revient à 15,99 €. Le tout dans la limite de 4 abonnements mobiles au même RIB et à la même adresse.
En complément à ses offres mobiles, Free vend des smartphones… et en loue aussi. Sur deux ans en l’occurrence pour les clients du forfait à 19,99 €, avec, au-delà, reconduction tacite par périodes successives d’un mois.
En cas d’interruption d’une ligne mobile (pendant plus de 2 jours) ou de retard dans sa mise en service (plus de 24 heures), l’opérateur s’engage, sauf faute de la part de l’abonné, à rembourser ce dernier « au prorata temporis du défaut d’accès ». C’est le même principe sur les offres fixes, y compris pour un éventuel non-respect des niveaux de débit et de disponibilité annoncés.