Une nouvelle mouture stable de Google Chrome fait son apparition sur le Play Store.
Numérotée 18.0.1025308, elle embarque un bac à sable (sandbox) retravaillé et corrige quelques bugs non critiques.
Ce navigateur Internet passé fin juin en version finale est réservé aux terminaux équipés d’Android 4.0 Ice Cream Sandwich ou de son successeur, Jelly Bean.
Au-delà des performances pures, de l’ergonomie et fonctionnalités additionnelles, l’accent est mis sur la sécurité, problématique centrale des systèmes d’exploitation mobiles.
Outre la correction de 7 bugs mineurs qui ont valu à leurs deux découvreurs respectifs – Artem Chaynik et Takeshi Terada – la bagatelle de 1000 et 2500 dollars, l’effort de la communauté s’est porté sur la sandbox.
L’architecture de Chrome permet d’utiliser ce mode « bac à sable » par lequel chaque application se voit attribuer un identifiant unique permettant son exécution en tant que processus indépendant, régi par des permissions utilisateur bien définies.
Cette isolation des ressources restreint d’autant la portée des contenus malveillants, qui n’ont alors plus accès au système, faute des autorisations requises.
En vigueur de longue date sur les systèmes UNIX, cet artifice s’applique, sur Android, au niveau du noyau Linux. Cette interaction limitée qui vaut pour les applications concerne tout autant les frameworks et les librairies.
Seul bémol : la compatibilité n’est pour l’heure assurée qu’avec Jelly Bean 4.1. A noter qu’en parallèle, les contrôles vidéo sur YouTube sont dorénavant fonctionnels en plein écran.
Fort d’une arrivée remarquée sur Android, fin juin dans le sillage de Firefox, Google Chrome s’est engagé dans la bataille des navigateurs Internet.
Il a pour lui un mode de surf privé, une technologie agressive de compression des données, de nombreux outils de synchronisation, une compatibilité HTML5 avérée, une barre de recherche unifiée et la gestion des processeurs multicoeurs.
gestion des processeurs multicoeurs, d’une optimisation de l’ouverture massive d’onglets et d’une technologie de compression des données qui ont pris leur aises quelques semaines après leur introduction,
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