Cela fait dix ans que Google est installé en France.
« Comme moi, la société a dû apprendre pour trouver sa place en France », déclare Nick Leeder, Directeur général de Google France (le manager d’origine australienne est en fonction depuis deux ans).
De quelques salariés, la start-up devenue firme Internet dispose désormais d’un effectif dépassant les 600 salariés basée à Paris, qui est devenue en l’espace de trois ans l’un des pôles de référence dans l’organisation européenne du groupe Internet (récemment révisée).
Pour fêter cette date anniversaire, Google France a invité la presse dans ses locaux pour présenter trois nouvelles initiatives (ou prolongement de programmes) visant les PME, les start-up et les associations.
L’occasion également de présenter sa première campagne de publicité institutionnelle en France sous le leitmotiv : « Google, moteur des réussites françaises ».
Un site dédié explique cette vision, qui devrait servir de ligne directrice de la stratégie pour raffermir sa présence en France.
L’initiative la plus fraîche concerne l’écosystème des jeunes pousses. La branche française du groupe Internet lance un programme spécifique Scale-Up afin d’accompagner des start-up bien installées à accélérer sa croissance dans le monde.
C’est une assistance technique et commerciale plus approfondie qui sera accordée à une dizaine de start-up au démarrage. Il n’y a pas d’implication financière (prise de participation dans la société Internet).
Google collabore déjà avec l’écosystème de start-up à travers l’accélérateur Le Camping et son soutien à l’espace d’innovation paririen NUMA.
« Avec le programme Scale-Up, nous voulons accompagner les start-up françaises dans la mondialisation », explique Nick Leeder. « Nous allons fournir des conseils pour les suivre pour qu’ils deviennent les prochains BlaBlaCar ou Sarenza. »
Nick Leeder précise qu’un modèle de programme Scale-Up a émergé initialement en Israël. « Nous l’avons adapté à la France. »
Parallèlement, le groupe Internet accentue son soutien aux PME et aux associations.
Dans le premier cas, le programme Google pour les Pros sera accentué en 2015 : d’ici la fin de l’année, Google compte « former 200 000 professionnels » en s’appuyant sur 200 coaches éparpillés sur le territoire et sur les Chambres de Commmerce et d’Industrie (CCI).
Depuis trois ans, 50 000 entrepreneurs ont participé à ce programme et la moitié d’entre eux ont franchi le cap d’avoir « une présence en ligne ». Ce qui reste finalement assez frileux pour une économie française qui doit s’adapter à l’ère numérique.
Sous un autre angle visant à ancrer davantage ses activités dans l’Hexagone et à tisser davantage de liens avec tous les profils d’acteurs, Google a monté un dispositif de soutiens aux associations.
Entre 2013 et 2014, le groupe Internet a offert 35 millions d’euros en publicité pour promouvoir les actions de certaines structures associatives.
« Une initiative de grande ampleur en faveur du monde associatif français » sera présenté prochainement.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…