Progressivement, Google introduit la vérification des profils des comptes Google+.
Un système cantonnée aux célébrités, aux personnes publiques et à celles présentes dans de nombreux cercles. Mais ce n’est qu’un début.
C’est Wen-Ai Yu de l’équipe Google Plus qui le précise sur un blog officiel du réseau social.
« Pour le moment, nous nous employons à vérifier les personnalités publiques, les célébrités et les personnes qui ont été ajoutées à de nombreux cercles, mais nous travaillons à l’élargir à plus de personnes. »
Officiellement, Google entend se porter garant d’une certaines crédibilité, voire authenticité, envers les utilisateurs.
Vous avez ajouté un homme politique ou un acteur connu à vos cercles, vous pouvez désormais être certain qu’il ne s’agit pas d’une identité usurpée.
C’est le message que Google tient à faire passer.
Mais à termes, tous les comptes seront systématiquement vérifiés et « accrédités ».
Wen-Ai Yu reste vague sur la définition toute relative de célébrité, de personne publique et sur le nombre d’ajouts dans des cercles qui font qu’un compte est maintenant vérifié.
Il y a plusieurs semaines, la firme de Mountain View a commencé à faire le « ménage » en supprimant tous les comptes qui n’étaient pas en accord avec sa politique des noms réels.
Suite au tollé provoqué par la suppression de comptes, elle a ensuite mis le holà en proposant aux personnes via une notification de mettre à jour leur profil pour rentrer dans le droit chemin.
Une étiquette de certification prend la forme d’un petit encart situé à droite du nom dans Google+ (voir photo).
Le « check » vous garantie discrètement que le profil a été vérifié.
« Cela vous aidera à savoir facilement quels profils sont ceux de personnes réelles ayant fait l’objet d’une vérification », déclare Wen-Al Yu.
La certification d’un compte est le pendant de la politique des noms réels également instaurée sur Google+.
Se repose dès lors la question de l’anonymat. Question à laquelle on peut répondre de façon implacable : l’anonymat n’existe pas sur Google+ et il s’agit là d’une information désormais publique.
Pour l’utilisateur, c’est aussi un filtrage de facto des spams dans une certaine mesure.
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