Mise à jour ce 17 avril, la version mobile du navigateur Google Chrome s’enrichit après une première version datant de février.
Au menu de cette nouvelle mouture immatriculée 0.18.4409.2396 : l’optimisation du chargement des contenus grâce à une technologie de compression applicable à quelque 90% des éléments constitutifs des pages Web.
Eclectisme oblige, la prise en charge de 31 langues supplémentaires s’adjoint à l’abolition des contraintes géographiques : l’application est désormais disponible dans tous les pays qui bénéficient d’un accès à Google Play.
Barre d’adresse et de recherche unifiées, l’Omnibox reste d’actualité, au même titre que la synchronisation d’onglets en temps réel, depuis tout autre terminal.
Cet artifice complémente un système de déportation d’affichage, typiquement des petits écrans tactiles vers un moniteur conventionnel.
Dans cette lignée, il est dorénavant laissé à l’utilisateur le loisir d’alterner à sa guise, via une option intégrée, entre l’interface traditionnelle d’un site Web et sa version mobile.
En outre, les marque-pages s’invitent dorénavant sur l’écran d’accueil, sous la forme de widgets, non sans rappeler le principe même de services tel Delicious.
Ultime avancée que revendique Google par l’entremise d’un court billet sur son blog officiel, une meilleure gestion des liens hypertexte, tout particulièrement lorsqu’ils pointent vers des fichiers cibles susceptibles d’être ouverts directement dans le navigateur avec les modules adéquats.
Au rang des abonnés absents, une pièce maîtresse dont l’éditeur a récemment entériné la défection sans retour : le greffon Flash.
Adobe en a définitivement stoppé le développement sur les plates-formes mobiles, ouvrant la voie au HTML5.
Au vu de son succès grandissant, il tombait sous le sens que Chrome, fort de plus de 200 millions d’utilisateurs au dernier pointage, s’exporte sur les smartphones et les tablettes, sous l’égide de la convergence.
Cette continuité dans l’expérience interactive de navigation, Google lui-même la prône depuis 2008 et l’intronisation de son butineur maison, qui en est désormais à sa 18è déclinaison majeure.
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