Google envisage depuis plus de deux mois d’adjoindre à son réseau social Google+ des pages dédiées aux marques. Cette intégration semble enfin d’actualité. Elle pourrait tirer parti des Cercles publics et privés pour fournir aux utilisateurs des informations triées sur le vol et plus pertinentes.
Certes, il y eut, à l’occasion de ce Web 2.0 Summit tenu du 17 au 19 octobre, une indétrônable vedette dénommée Android Ice Cream Sandwich.
Pour autant, Google+ s’est taillé une part conséquente du gâteau, ponctuée d’une ouverture reconnue et pleinement assumée vers de nouveaux publics, à l’heure où son taux de fréquentation n’est plus au beau fixe.
La diversification se pose comme l’argument numéro de Vic Gundotra, Senior Vice-Président du département Social Business pour la firme de Mountain View.
En témoigne l’intronisation imminente de l’écosystème Documents dans l’interface de Google Plus, manoeuvre essentiellement destinée à aguicher les entreprises, encore peu demandeuses d’une suite collaborative payante au-delà de 10 utilisateurs.
Pour élargir un peu plus son champ d’action, le réseau social un temps appelé à concurrencer Facebook a retourné sa veste jusqu’à accepter les pseudonymes en lieu et place des noms et prénoms.
Jamais deux sans trois, s’en réjouiront les quelques 50 millions d’usagers du service. A ceci près que la dernière des nouveautés n’est pas nécessairement à leur avantage.
Et pour cause : les marques vont avoir l’occasion d’étendre leur influence sur le Web avec des pages dédiées.
Elles toucheront toutefois potentiellement près de 20 fois moins d’internautes (dont 83% d’inactifs, selon les dernières études en ce sens) que sur Facebook.
Mashable, qui s’est toutefois efforcé d’en dégager les principaux atouts, qualifie d’arme fatale l’implémentation d’un système de Cercles.
Par ce biais, l’usager qui suit une marque peut choisir de ne recevoir des notifications qu’à propos des produits qu’il affectionne.
Pour un constructeur automobile, il pourra s’agir d’un modèle bien précis ; pour une agence de voyages, une destination particulière.
Les administrateurs des pages concernées auraient quant à eux accès à des Cercles privés qui leur permettraient d’affiner un peu plus la diffusion de l’information en classant les fans selon leur bon vouloir (catégorie d’âge, situation professionnelle, lieu de résidence).
Concrètement, Google+ centralise les passions autour d’un nombre limité d’abonnements, quand Facebook impose une page par produit.
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