Finalement, Google n’a pas été refroidi par les controverses suscitées par son logiciel permettant d’accélérer la navigation sur le Web (voir édition du 9 mai 2005). Le moteur américain tente une nouvelle fois de s’immiscer entre les internautes et le Web avec un autre logiciel permettant, lui, de sécuriser une connexion Internet Wi-Fi.
Disponible en version de test, Google Secure Access fait passer le trafic Web de l’utilisateur par un réseau privé virtuel (VPN) du moteur de recherche. Le logiciel assure ainsi l’encodage et le décodage des données afin d’éviter qu’elles ne soient lues pendant leur transit. Un procédé généralement utilisé par les entreprises, mais qui n’est pas proposé par les opérateurs grand public.
Google se réserve, par ailleurs, le droit de sauvegarder certaines informations sur les utilisateurs de son logiciel et les documents auxquels ils accèdent sur le Web, afin de mieux « comprendre comment Google Secure Access est utilisé et améliorer nos services » , indique-t-il sur le site dédié au produit. Bien que ses intentions semblent louables, elles ne sont pas du goût de certains qui lui reprochaient déjà de vouloir collecter des informations personnelles sur les internautes avec Google Web Accelerator.
Prudent comme de coutume, le moteur américain réserve pour l’heure son nouvel outil aux utilisateurs connectés à certains hotspots Wi-Fi de la baie de San Francisco. Des points d’accès qui lui appartiendraient, selon le blogueur américain Nathan Weinberg. Celui-ci rapporte avoir lu sur le site dédié à Google Secure Access que le logiciel est actuellement accessible aux utilisateurs de « certains hotspots wifi Google ». Ces informations auraient été corrigées depuis.
Un réseau de fibre optique à l’étude
Dans le même temps, IP Media Monitor révèle que Google étudie actuellement des devis, commandés à plusieurs équipementiers, pour le déploiement d’un réseau en fibre optique couvrant tout le territoire américain. Le prestataire proposant la meilleure offre, d’un coût inférieur à 100 millions d’euros, se dirait capable de remplir sa mission en quelques mois. Les mots clés « Wi-Fi » et « accès Internet » semblent plus que jamais indissociables du mot clé « Google ».
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…