En 2014, Facebook avait affolé les compteurs en déboursant environ 20 milliards de dollars pour s’emparer de l’application mobile de messagerie instantanée WhatsApp.
Google pourrait faire de même avec Snap.
Le groupe Internet serait même prêt à payer plus. En l’occurrence, 30 milliards de dollars pour acquérir la firme californienne à l’origine du service communautaire Snapchat.
Business Insider, qui en réfère à trois sources internes ou « proches du dossier », affirme qu’une première proposition avait été faite au printemps 2016, peu avant l’officialisation d’un tour de table qui avait valorisé Snap à 20 milliards de dollars. CapitalG (ex-Google Capital) avait participé à cette opération.
L’offre aurait été renouvelée cette année, en amont de l’introduction en Bourse de Snap, intervenue au mois de mars sur la base d’une valorisation à 24 milliards de dollars.
Le démarrage sur le New York Stock Exchange avait été fulgurant : à l’issue du premier jour de cotation, on frôlait les 35 milliards.
Le cours de l’action a progressivement baissé depuis lors. En mai, il était pour la première fois tombé sous son niveau d’introduction, conséquence de l’annonce des résultats financiers de la société.
Cette dernière a souffert de la comparaison avec Facebook, qui, à défaut d’avoir pu s’emparer de Snapchat, en reproduit progressivement les fonctionnalités*.
Instagram Stories en est l’illustration ; et compte, au dernier pointage, 200 millions d’utilisateurs actifs par jour.
Snapchat en est, en moyenne, à 166 millions sur le 1er trimestre 2017. Et le différentiel est plus important sur le volet monétisation : le revenu par utilisateur s’élève à 90 cents, alors qu’il atteint 4,23 dollars chez Facebook.
En 2013, une rumeur avait fait état d’une offre à 4 milliards de dollars déjà déposée par Google, dont Snap utilise aujourd’hui la plate-forme cloud et les solutions bureautiques.
* Tout en lorgnant d’autres services « à la Snapchat », à l’image de Snow, propriété du groupe sud-coréen Naver, connu pour sa messagerie instantanée Line.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…