HTC One : essai concluant pour ce smartphone Android
Investi en haut de gamme sur le créneau de l’iPhone 5 d’Apple et du Galaxy S4 de Samsung, le HTC One a des arguments à faire valoir, selon Gizmodo. Tour d’horizon de cette opération séduction.
Prise en main idéale, puissance du processeur, qualité de l’écran, richesse de la connectivité, appareil photographique innovant, surcouche logicielle appréciable : Gizmodo se montre dithyrambique vis-à-vis du HTC One.
Sans rompre radicalement avec le modèle One X auquel il succède en tête de catalogue, ce nouveau porte-étendard du fabricant high-tech taïwanais apporte un différentiel technologique, aussi bien en termes de matériel qu’au niveau logiciel.
Le passage de témoin effectué à un an d’intervalle, la situation a évolué sur le marché des smartphones. Les références en haut de gamme se nomment désormais iPhone 5 (Apple), Galaxy S4 (Samsung), Nexus 4 (LG, pour le compte de Google) ou encore Xperia Z (Sony).
Investi sur ce segment avec une offre hardware alléchante (processeur quadricoeur Qualcomm Snapdragon 600, 2 Go de RAM, écran 4,7 pouces en Full HD 1080np, 32 ou 64 Go de mémoire interne), le One « n’a pas à rougir de la concurrence », selon Gizmodo.
Quand bien même il n’embarque un modem LTE que dans sa version commercialisée outre-Atlantique, sa silhouette agréable fait mouche, au même titre que la robustesse de sa coque faite d’aluminium.
Son dos légèrement bombé facilite la prise en main sans alourdir démesurément le terminal : 130 grammes pour 8,9 mm d’épaisseur.
D’une résolution de 468 ppp, l’écran Super LCD 3 séduit, allié à la compatibilité MHL (Mobile High-Definition Link), qui gère le transfert de l’image et du son via l’interface USB.
Autre plus-value, la technologie Ultrapixel et ses capteurs ultrasensibles particulièrement performants en basse lumière, malgré un bémol quant à la relative faiblesse du contraste et critique la pauvreté du stabilisateur.
L’avis est bien plus univoque vis-à-vis de la surcouche Sense 5.0, qui propose une interface utilisateur « à la Windows Phone ». Illustration avec des widgets présentés sous la forme de tuiles interactives, par exemple pour l’agrégateur RSS BlinkFeed.
Passé l’écran de verrouillage personnalisable, l’appareil photo « est intuitif » dans ses commandes. En revanche, la navigation verticale perturbe et la grille d’applications, réduite par défaut à 3 x 4, occasionne une perte d’espace.
En outre, la mémoire interne (32 ou 64 Go) n’est pas extensible, à défaut d’un lecteur de cartes microSD. Une absence qui se généralise sur les smartphones, en phase avec l’adoption croissante du stockage en ligne « dans le cloud ».
Même déploration concernant l’autonomie de la batterie de 2300 mAh, « qui tient tout juste la journée […], très loin du [Motorola] RAZR Maxx HD [3300 mAh, ndlr] ».
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