La norme de réseau sans fil 802.11, qui permet la transmission de données sans fil et d’éliminer ainsi les problèmes de câblage, a le principal défaut d’être vulnérable aux intrusions. Récemment, des professeurs de l’Université du Maryland ont publié un rapport sur les failles de sécurité de 802.11 (voir édition du 6 avril 2001). Selon eux, une des grandes failles de sécurité résidait dans la phase d’autorisation d’accès au réseau sans fil. Ils estiment que les liaisons sans fil sont susceptibles d’être captées par des utilisateurs non autorisés. Les réseaux sans fil laissent ouvertes des portes dérobées passant outre les matériels de sécurité (firewalls). Dès lors, une personne malintentionnée munie d’un ordinateur portable peut, à quelques mètres de l’entreprise, assez facilement prendre connaissance des informations circulant sur le réseau.
Aujourd’hui, IBM a annoncé tester un système non pas de protection des réseaux sans fil, mais de détection d’intrusions. Le système permet à l’administrateur de surveiller l’activité des points d’entrée et de contrôler, par le biais du cryptage et de l’authentification, que les utilisateurs connectés appartiennent bien à l’entreprise. L’administrateur peut ainsi consulter à l’aide d’un assistant personnel un graphique montrant le bon fonctionnement de tous les points d’accès disponibles dans l’entreprise.
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