Innovation USA : une équipe R&D planche sur un « réseau mental »

Bienvenue dans l’ère du Web 4.0, également baptisée le « Web psychique ».

Bientôt, tous les secrets vont disparaître grâce à l’émergence d’un concept de réseau mental : BrainSouk.com.

Une équipe de recherche, rattachée à la Scullly&Mulder’s Foundation (Pali Palo, Californie), a élaboré un prototype de plate-forme communautaire qui interconnecte directement les neurones des internautes au World Wide Head.

Pour cela, les chercheurs ont implémenté une puce NFC (sans contact) dans le cortex cérébral de chaque cobaye humain participant au test.

Un réseau mental, comment ça marche ?

Les pensées sont transmises sans fil sur les supports connectés  : PC, smartphone, tablette, TV connectés sous le système nerveux d’exploitation Cranoid.

Elles sont retranscrites directement en texte (protocole « Tought-to-Text », en cours de dépôt de brevet).

Le tout s’affichant en live sur sa « think page » personnelle du réseau mental accessible via Internet.

Inutile de parler. Penser, c’est communiquer. WikiLeaks avec ses sources anonymes à l’intérieur des organisations peut aller se rhabiller.

La source de l’info, on la puise directement dans le cerveau.

Quant à Facebook, son usage risque d’être limité à ceux qui ont le cerf-volant.

Les travaux R&D relatifs à BrainSouk.com ont été soutenus par le fonds d’investissement « High-Tête » BrainComic, qui travaille en étroite incubation avec le Département des Sciences du Comportement du FBI de Quanticocaïne (Virginie).

Après une première phase d’expérimentation plutôt prise de tête, les « cobayes mentalistes » ont exigé l’instauration d’un droit à l’oubli sur BrainSouk.com, considérant que la transparence totale des pensées rendaient la vie sociale insupportable.

Science sans conscience n’est que ruine du lab’.

Pour découvrir le site Web hébergeant le premier bilan de BrainSouk.com, consultez la page 2.