Amorcée il y a un an et demi sur le seul iOS, la success story d’Instagram se poursuit sur Android.
Le réseau social aux 30 millions d’utilisateurs poursuit sa conquête des plates-formes mobiles et dévoile à cet effet une application officielle pour l’OS de Google.
Quelques fonctionnalités manquent encore à l’appel, comme la prévisualisation en temps réel des filtres appliqués aux photographies.
Mais l’essentiel était de répondre à l’appel des mobinautes, qui s’étaient massivement prononcés en faveur d’une telle échéance.
A mesure que s’impose le Web social, l’avenir des plates-formes communautaires s’imprègne d’une inéluctable dimension mobile.
Témoin ces 850 000 activations quotidiennes qu’enregistre désormais Android, pour plus de 500 millions de terminaux en circulation, additionnés à ces quelque 200 millions de smartphones Apple.
Instagram, qui n’est pas pour faire exception à cette incontestable tendance, rejoint, aussi sagement qu’inexorablement, les rangs de Google Play.
Pour mémoire, il s’agit d’un service communautaire axé sur le partage d’images.
Plus ou moins apparenté à Pinterest, le concept a réuni sous son égide 27 millions d’utilisateurs, dont une part croissante de professionnels.
Photographes, journalistes, mais aussi internautes lambda s’adonnent à la retouche au vol des clichés capturés avec la caméra intégrée à leur smartphone, voire leur tablette.
Du sempiternel sépia à l’accentuation des tons clairs, une quinzaine de filtres régulièrement renouvelés permettent d’apporter une touche personnelle à ses photographies.
Cofondateur d’Instagram, Kevin Systrom recense 5 millions de téléversements par jour, essentiellement depuis des terminaux mobiles.
L’intéressé s’était d’ailleurs montré catégorique à l’heure d’entériner la transition vers Android : les deux tiers des utilisateurs actifs ont quasi quotidiennement recours au client iOS en complément, voire en substitut à l’interface Web.
En dépit d’un prochain tour de table annoncé à 40 millions de dollars, un modèle économique viable sur le long terme fait encore défaut à cette start-up de 13 salariés.
A moins que ses dirigeants n’aient dans l’idée d’atteindre une masse critique avant de songer à monétiser leurs contenus, comme a pu le faire Twitter.
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