Pour gérer vos consentements :
Categories: Mobilité

Iomega StorCenter : de la polyvalence des NAS

Quelques mois ont passé depuis que la rédaction d’ITespresso.fr s’est dotée de NAS Iomega StorCenter, en l’occurrence les modèles px4-300d et ix4-200d. L’heure est au retour d’expérience, avec à la clé un constat : le stockage d’entreprise, et notamment des PME, a trouvé ses références !

Configuration béton en RAID5 avec partition iSCSI, recours massif aux services dans le Cloud, accès à distance avec DNS, vidéo-protection au moyen de caméras IP Axis (voir notre précédent article), utilisation possible d’un onduleur et d’une clé Bluetooth… rien n’échappe à ces cobayes qui auront pourtant tenu bon la barre.

La politique d’Iomega n’y est certainement pas étrangère. La filiale d’EMC a privilégié l’accessibilité technique et tarifaire de ses produits tout en leur conférant une évolutivité qui laisse le client libre de compléter l’ensemble à son rythme, au gré de ses besoins.

Un disque dur par-ci, un service d’hébergement par-là… les investissements initiaux restent faibles (899 euros HT pour le px4-300d dans sa version de base) et adressent idéalement les PME.

Avec comme mots d’ordre la réactivité, le débit et la sécurisation des transferts ou encore l’efficacité du système de récupération de fichiers, les rédactions du groupe NetMediaEurope (éditeur d’ITespresso.fr) se sont livrées à une batterie de tests.

Leurs conclusions sont sans appel : le support technique et les mises à jour régulières du système d’exploitation intégrés aux NAS (le dénommé LifeLine) ont décuplé au fil du temps les capacités des StorCenter, déjà intrinsèquement  bien nés…

Les deux appareils ont en outre révélé des usages insoupçonnés et une capacité à s’adapter rapidement aux réalités techniques du moment. A titre d’exemple, l’IPv6, le Wake-on-LAN et la sauvegarde en NAS-to-NAS, sont désormais gérés par la dernière mouture de LifeLine. De plus, certaines fonctionnalités exploitables à l’origine ont gagné en flexibilité et en pertinence. C’est le cas de la prise en charge des trames Jumbo (encapsulage de paquets IP de taille supérieure) et de l’association des deux interfaces Ethernet Gigabit (« teaming ») avec optimisation de la bande passante.

Tout aussi louable, cette volonté de tendre vers l’universalité, avec des clients logiciels pour Windows, Mac OS et Linux, mais aussi des applicatifs mobiles pour iOS et Android (pas encore de support pour Windows Phone et BlackBerry OS, mais ça pourrait venir…)

Page: 1 2

Recent Posts

PC Copilot+ : une porte d’entrée vers l’ IA locale ?

Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…

2 semaines ago

PCIe 5.0 : La révolution des cartes-mères est-elle en marche ?

Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…

3 semaines ago

Cybersécurité : attention aux QR codes dans les PDF

Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…

2 mois ago

Windows 11 : une mise à jour majeure apporte de nouvelles fonctionnalités

Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…

3 mois ago

Microsoft 365 : comment Copilot se déploie dans toutes les applications

L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…

3 mois ago

PC Copilot + : Microsoft veut garder Recall

Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…

4 mois ago