La Jolla Tablet évoluant sous la plateforme Sailfish OS est disponible en pré-commande sur son site Internet.
Le fabricant finlandais de terminaux mobiles Jolla Ltd précise que les livraisons seront honorées à partir de fin octobre pour des zones ou des pays comme l’Union Européenne, la Norvège, la Suisse, les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, l’Inde et Hong Kong.
Le premier tarif pour le modèle embarquant 32 Go de mémoire flash interne est fixé à 267 euros (TTC), celui-ci pouvant légèrement varier en fonction des taxes en vigueur dans le pays concerné (258 euros pour la France). La déclinaison dotée de 64 Go est proposée à 299 euros TTC.
Les deux versions disposent d’un emplacement pour microSD (de 128 Go maximum).
« Première tablette financée via le crowdfunding », la Jolla Tablet se distingue par son OS. Baptisé Sailfish OS, il s’agit d’un dérivé de Meego, OS de Nokia à l’origine. Il a été développé par la société finlandaise Jolla, créée en 2011 par d’anciens employés de Nokia.
Alternative revendiquée d’Android, Sailfish OS a fait ses débuts fin 2013 avec le smartphone modulaire baptisé alors Jolla. La tablette de Jolla embarque, elle, la mouture 2.0 de l’OS.
L’accent est mis sur le multitâche et sur la confidentialité, aucune données n’étant collectées, assure Jolla. Il permet également de faire tourner toutes les applications Android en théorie.
La tablette Jolla est équipée d’un écran IPS de 7,85 pouces avec une définition de 2048 par 1536 pixels, soit une définition de 330 ppp (pixels par pouce). Elle embarque un processeur Intel 64 bits à 4 coeurs cadencés jusqu’à 1,8 GHz, épaulé par 2 Go de mémoire vive.
L’appareil dispose aussi de deux appareils photos numériques (avec capteur de 5 mégapixels au dos et de 2 mégapixels en façade).
Côté connectivité, elle se contente du Bluetooth 3.0 et du Wi-Fi ab/b/g/n (pas de ac).
Autres caractéristiques : elle est alimentée par une batterie de 4450 mAh. Elle affiche aussi un poids de 385 grammes et un encombrement de 203 par 187 mm (avec une épaisseur de 8,3 mm).
La Jolla Tablet ne se distingue donc pas par sa fiche technique mais bien plutôt par son OS susceptible d’attirer d’autres fabricants.
Début juillet, la société finlandaise annonçait ainsi scinder son activité en deux. Une entité va prendre en charge l’aspect hardware avec le développement des terminaux mobiles (tablettes et smartphones) tandis que l’autre partie s’occupera intégralement de Sailfish OS.
L’objectif est de concentrer les efforts sur son OS et de l’exploiter sous forme de licences.
La première société à être intéressée est Yota, connue pour son smartphone à deux écrans Yotaphone. La société russe désire passer d’Android à Sailfish OS pour son prochain terminal mobile.
(Crédit photo @Jolla)
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