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Kiwatch veut généraliser la vidéo surveillance simple et pas chère

Des solutions de surveillance par vidéo accessibles au grand public comme aux professionnels, ça existait déjà…

Mais Kiwatch prétend s’y prendre différemment et autoriser tout le monde à conserver simplement un œil chez soi ou sur ses proches 24 heures sur 24, « tout en respectant la vie privée des utilisateurs et des personnes surveillées ».

Kiwatch est une start-up fondée à Nantes en janvier 2011 par Cédric Williamson (15 ans d’expérience dans les nouvelles technologies), Laurent Rocuet (17 ans de management de projets TIC), Jocelyn Denis (P-DG de Digitaleo et investisseur privé), Stéphane Denis (investisseur privé) et Alfred Macleod (investisseur privé).

Le service est supporté et hébergé par Alcatel-Lucent dans le cadre de l’initiative Arc Bretagne Atlantique (voir encadré en bas d’article).

Mais à quel besoin voulait répondre Kiwatch ?

« Il n’existait pas aujourd’hui d’offre bon marché proposant la vidéo live pour sécuriser son domicile ou son entreprise », constate Cédric Williamson, P-DG de la société.

« Kiwatch innove avec un véritable système de vidéosurveillance qui va bien au-delà de l’aspect sécuritaire, avec des services permettant de rester en contact et de veiller sur ceux que l’on aime, proches ou même animaux de compagnie. »

Cédric Williamson

Souhaitant donc généraliser l’accès à la vidéosurveillance en proposant la première solution de surveillance à faible coût offrant un service 24/24 « non intrusif ».

Dans le cœur de cible des personnes « à surveiller » (plus que des installations) : les personnes âgées et les enfants qui doivent être parfois surveillés continuellement pour les prémunir de certains dangers.

Avec Kiwatch, on peut être connecté 24h/24 avec ses proches, sans intervenir directement dans leur vie quotidienne mais avec la possibilité de réagir en un clin d’œil en cas de problème.

A titre d’exemple, les dirigeants de la start-up citent le cas de parents au boulot.

Kiwatch facilite la vie au quotidien : plus besoin de se demander si leurs ados sont bien rentrés de l’école car ils sont automatiquement prévenus par SMS de leurs arrivées.

Dans le cas d’une personne âgée atteinte d’Alzheimer ou de difficultés motrices, Kiwatch peut prévenir l’utilisateur lors de situations prédéfinies : sorties nocturnes, entrée dans une pièce qui comporte des appareils de cuisson ou dangereux, montée d’un escalier, etc.

Autre exemple 3 : Enfin, quand il s’agit d’un bébé, Kiwatch apporte une double sécurité couplée à celle d’une nourrice ou baby-sitter.

La caméra peut ainsi détecter si l’enfant s’est réveillé au cours d’une sieste, ou s’il s’est dirigé dans une pièce dangereuse pour lui (salle de bain, garage, etc.).

A cela, les parents clients de Kiwatch peuvent voir leur bébé à distance à tout moment.

Un témoignage de Jean L. précise: « Nous sommes retraités, souvent absent de notre domicile.  Actuellement à la Réunion .nous avons mis en place une caméra à l’intérieur de la maison. Avec mon iPad, je peux surveiller notre maison et en cas d’intrusion un voisin est averti sur son portable. Bien que plus tout jeune (j’ai 80 ans), je n’ai pas eu de problème pour installer la caméra le service technique est parfait. Nous allons renouveler notre abonnement. »

Kiwatch se revendique simple, innovant et moins cher

Évoquant la simplicité d’installation et d’utilisation, la solution « plug-and-play » est opérationnelle en quelques minutes sans frais d’installation.

Kiwatch explique qu’il est le premier service de vidéosurveillance de qualité professionnelle avec un abonnement démarrant à 5,90 euros par mois, moyennant toutefois l’achat d’une caméra à partir de 99 euros(*).

L’un des slogans du service est du reste: « Kiwatch, la vidéosurveillance pour le prix d’une place de cinéma par mois« .

Dès qu’elle est opérationnelle, la solution permet de savoir ce qui se passe chez soi en direct de n’importe quel endroit, via un smartphone, une tablette ou un ordinateur connecté à internet, de jour comme de nuit.

Elle permet aussi de recevoir des alertes vidéo en cas de détection ou d’intrusion au domicile, par SMS et par email.

De planifier une surveillance en cas de départ en vacances ou autres absences, avec programmation possible d’enregistrements vidéo et d’alertes.

Enfin, on peut procéder à une sauvegarde de tous les enregistrements sur les serveurs sécurisés de Kiwatch et les récupérer à tout moment (pour servir de preuve par exemple).

Comment ça marche ?

Concrètement, après que l’utilisateur se soit abonné en ligne, il reçoit par Colissimo Expert sous 72h00 la ou les caméras Wi-Fi commandées.

L’installation se fait alors en moins de 5 minutes grâce à un bouton WPS (WiFi Protected Setup) qui permet automatiquement d’associer chaque caméra à la box ADSL de l’utilisateur.

Instantanément le client de la solution peut accéder à son espace sécurisé sur le site Internet de Kiwatch, depuis un ordinateur, un smartphone ou une tablette afin de visionner et piloter le système de surveillance.

Ayant bénéficié il y a quelques mois d’une belle visibilité sur TF1, dans le cadre de l’émission présentée par Harry Roselmack (« 7 à 8 »), vous pouvez également retrouver une interview vidéo du nantais Cédric Williamson sur le site des entrepreneurs nantais Entreprenantes.

Cédric Williamson conclut: « Il était temps d’offrir au grand public une solution de vidéosurveillance accessible sur mobile, simple à utiliser, robuste et pas cher. »

Même si d’autres solutions apparaissent chez les opérateurs télécoms.

Ainsi, dans le cadre de son offre « Home », SFR propose une prestation similaire.

*Tarif TTC pour un abonnement de 12 mois. A l’issue de la durée d’engagement de 12 mois, l’abonné conserve le cout mensuel au jour de sa souscription aux services sauf en cas de rupture de contrat. Cet abonnement nécessite l’acquisition d’une ou plusieurs caméras à 99€TTC par caméra lors du premier abonnement.

Orange et Alcatel-Lucent derrière Arc Bretagne Atlantique
Lancée an mars 2010, Arc Bretagne Atlantique est une initiative commune Orange et Alcatel-Lucent visant à apporter leurs savoir-faire issus de leurs centres de compétences en Régions Bretagne et Pays de la Loire. Objectif : proposer au tissu économique local, en complément des services existants, des prestations de soutien au développement de nouveaux produits/services innovants de communication et de contenus. L’ambition de ce projet est d’aider les PME et laboratoires en mettant à leur disposition les compétences et infrastructures des sites régionaux de deux grands groupes, pendant les phases de définition, développement, validation et commercialisation de leurs produits.

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