Prisé de quelque 160 millions de mobinautes à l’échelle du globe (22% des effectifs au dernier baromètre de Statcounter) et fort d’une percée remarquée sur les marchés émergents, le navigateur Web Opera Mini passe en version 7.
Son éditeur, le norvégien Opera Software, nourrit des ambitions légitimes à l’heure de déployer cette nouvelle mouture au sein de l’écosystème Android, mais aussi sur les plates-formes BlackBerry, iOS et Symbian.
Alors même qu’il se destinait, à l’origine, aux seuls « feature phones », Opera Mini s’est offert une virée sur les smartphones pour converger avec son pendant, le dénommé Opera Mobile.
Si l’union de ces deux forces semble imminente, l’heure est davantage à l’autosatisfaction des suites de cette mise à jour qui améliore notamment le chargement des pages, avec une technique plus agressive de compression des données côté serveur.
En moyenne, 90% des éléments d’une page passent ainsi à la moulinette d’un algorithme qui agit sans solliciter le processeur des terminaux mobiles.
Toutes les requêtes sont traitées à distance pour minimiser la consommation data. L’expérience utilisateur en est fluidifiée.
Remodelée pour mieux s’adapter aux petits écrans tactiles et dotée d’une fonctionnalité Speed Dial qui gère désormais un nombre illimité de favoris via un système de volets, l’interface matérialise cette même volonté de rendre plus plaisante la navigation Internet.
Relégué au rang d’anecdote loin derrière ce support des technologies de rendu 3D WebGL, le NFC se signale et point à l’horizon d’Android Ice Cream Sandwich avec quelques API dédiées.
Opera Software, qui s’est fait une raison de persévérer sur le seul segment des smartphones et des tablettes tactiles, s’est emparé, au mois dernier, de deux spécialistes de la publicité mobile : 4th Screen Advertising et Mobile Theory, pour couvrir l’Europe et les USA.
En parallèle, malgré la farouche concurrence de Google Chrome et consorts, le navigateur Opera pour Windows et Mac OS X connaîtra bien une douzième version, avec un interpréteur HTML5 retravaillé et un moteur CSS3 amélioré.
S’y adjoindront une prise en charge de l’accélération matérielle et de la nouvelle interface Reader, qui bannit les barres de défilement pour s’orienter vers des affichages entre lesquels l’utilisateur alterne d’un simple glissement, à partir de n’importe quel dispositif de pointage (une télécommande pour les téléviseurs connectés).
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