Kodak prend le parti de la portabilité avec le Scanmate i920, un dispositif destiné à la numérisation de tous les documents.
Avec sa compatibilité restreinte aux systèmes Windows, l’ensemble se veut tout de même simple d’utilisation, économe en énergie et peu volumineux, pour trouver sa place en environnement professionnel.
Grand nom de l’argentique, le spécialiste de la photographie sous tous ses angles diversifie son offre et cède ainsi à son tour à la tendance montante du dématérialisé.
Son nouveau scanner se destine essentiellement aux entreprises en quête d’un appareil versatile, polyvalent, à des tarifs respectables, quoique les 395 euros HT le positionnent bien au-delà des produits grand public, notamment des imprimantes multifonctions.
Outre l’empreinte d’un engagement environnemental, le constructeur adjoint à son offre une garantie de trois ans, loin d’être monnaie courante quand l’obsolescence programmée frappe jusqu’aux produits haut de gamme.
Mais que vaut réellement cet étrange appareil dont la silhouette parée d’un noir laqué rappelle ces plastifieuses et autres dispositifs thermiques de congélation alimentaire ?
A en croire Kodak, l’implémentation de la technologie dédiée Perfect Page optimise la qualité des captures sans nuire à une cadence estimée à 20 pages par minute (la capacité maximale du réservoir intégré) en mode noir et blanc à 200 dpi.
La résolution monte jusqu’à 600 dpi, ce qui pourra s’avérer tout juste satisfaisant dans le cadre d’une numérisation axée sur le rendu graphique.
A ce propos, le format de sortie des images se limite à du JPEG ou du TIFF, à la rigueur. Restitué sous forme de document Word, RTF ou PDF, le texte est logé à meilleure enseigne.
L’interprétation et le décodage n’ont toutefois rien d’autonome. Au contraire de la Demat’Box de Sagemcom, le Scanmate i920 dépend cruellement d’un ordinateur pour assurer la complétion des tâches qui lui incombent.
Sa compatibilité avec les protocoles TWAIN et ISIS étend lui confère toutefois une hybridité propice à un greffage sur de multiples infrastructures, avec pour seuls branchements un cordon USB universel et un câble relié au secteur.
Reste que son potentiel ne s’exprimera véritablement qu’une fois le paramétrage logiciel effectué.
Associé à la technologie Smart Touch, ce compagnon évalué à 1,2 kg s’ouvre en effet à des usages bien plus autonomes.
Un système d’options numérotées déclenche facilite ainsi le déclenchement de processus automatisés que l’utilisateur aura définis au préalable.
Chacune de ces actions répétitives induit l’acquisition, le traitement et l’envoi des données vers une destination qui peut être un périphérique externe ou un espace dans le cloud.
ITespresso.fr, qui s’est procuré un exemplaire de ce scanner, procèdera cette semaine à des tests plus approfondis. A très bientôt pour le verdict !
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