Le réseau Free Mobile a connu des perturbations dans la journée de vendredi (2 mars).
Mais le groupe Iliad, maison-mère du quatrième opérateur mobile exploitant son réseau en propre, a refusé d’apporter des précisions sur l’ampleur de la défaillance.
Selon l’AFP, « l’incident avait débuté en fin de matinée vers 11 heures et a pris fin en milieu d’après-midi. »
L’origine de la panne proviendrait d’un des deux équipements de signalisation de Free Mobile (localisation des téléphones au coeur du réseau) qui aurait subi une surcharge.
Partenaire de Free Mobile pour l’itinérance 2G/3G, Orange a précisé que cet incident n’a eu aucun impact sur ses clients.
« Free nous a informé en fin de matinée d’un incident sur un équipement de son réseau. Cet incident n’est en rien lié au contrat d’itinérance et au réseau Orange (…)Nous ne pouvons faire plus de commentaires sur les causes de cet incident majeur de Free », a déclaré un porte-parole chez l’opérateur historique.
Le scénario serait donc différent de l’incident ponctuel survenu le 7 février en fin de journée : Orange avait interpellé la direction de Free Mobile à propos d’un « très grave incident réseau » qui avait des conséquences directes sur sa clientèle.
Ce nouvel épisode de dysfonctionnement surgit alors que l’ARCEP a confirmé mardi que le nouvel entrant dans la téléphonie mobile respectait bien ses engagements de couverture de la population (supérieure à 27%).
Malgré les polémiques qui fusent. Elle sont notamment alimentées par les syndicats (d’un côté) et les équipes de direction (de l’autre) des opérateurs concurrents (SFR, Bouygues Telecom) remettant en cause ce diagnostic technique de l’autorité de régulation des télécoms favorable à Free Mobile.
Ses détracteurs évoquent un « faux réseau inactif » exploité par le nouveau venu dans la mobilité qui, en guise de compensation, surexploiterait les ressources d’itinérance mises à disposition de son partenaire Orange.
(Lire la fin de l’article page 2) : ARCEP : « Le contrat conservé dans un coffre-fort! »
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