Face au bug de l’an 2000, les entreprises ont perdu confiance envers la stabilité des logiciels. C’est cette période de cafouillage qui expliquerait, selon une étude du cabinet Frost & Sullivan, la mollesse du marché européen des logiciels de traitement vocal (reconnaissance et synthèse de la voix). Ce marché, dominé par IBM, Philips et Dragon Systems, a réalisé en 1998 un chiffre d’affaire de 167 millions de dollars alors qu’il pourrait passer, d’ici 2005, à 1,90 milliards de dollars US, une fois la confiance revenue.
Frost & Sullivan ajoute que les entreprises y trouveraient pourtant leur compte, puisque de tels programmes pourraient accroître la productivité des services, automatiser l’aide aux clients et réduire les coûts de formation aux logiciels, en évitant l’apprentissage de commandes complexes.
Pour en savoir plus : http://www.frost.com
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