Le B575e, cet ordinateur portable de 15,6 pouces articulé autour d’une APU AMD Fusion et proposé à partir de 412 euros TTC, est l’un des fers de lance de Lenovo dans sa conquête des PME, sous l’égide d’un credo : le rapport qualité-prix.
Pour concrétiser ces aspirations et s’inviter au coeur du poste de travail mobile, le constructeur chinois exploite l’autre côté du x86 et joue l’alternative aux processeurs Intel, comme il l’a déjà fait sur certains de ses netbooks, notamment le modèle X131e.
Le surcoût, même léger, qu’a entraîné la transition vers la plate-forme Ivy Bridge, en a rebuté certains jusqu’à les conforter dans le choix d’un ultime modèle de l’ancienne génération, en l’occurrence la dénommée Sandy Bridge.
Voici désormais que se généralise l’alternative AMD, série Fusion, avec un E2-1800 double à 1,7 GHz pour 1 Mo de cache L2.
Le tout implémenté dans le châssis d’un laptop de la vieille garde, qui ne fait pas nécessairement dans l’autonomie (tout au plus 6h30 avec sa batterie 6 cellules, soit à peine une journée de travail), ni même l’innovation.
Mais à 344 euros HT (412 euros TTC), l’ensemble se place de fait dans une fourchette tarifaire économique et signe la résurgence d’une notion de rapport qualité-prix quelque peu perdue de vue avec les ultrabooks.
En contrepartie, c’est service minimum que Lenovo parvient toutefois à distiller avec à-propos pour faire oublier le standing nécessairement restrictif d’un tel produit d’ailleurs cantonné à Windows 7 Home Premium.
Aussi, peu se crée, cependant rien ne se perd. Ou plutôt, point trop n’en faut. Un seul port USB est à la norme 3.0 ; bien qu’extensible à 8 Go, la RAM DDR3-1600 plafonne à 4 Go en standard ; au SSD se substitue un disque dur de 500 Go à 5400 rpm.
Mais le B575e est d’abord pensé pour répondre aux besoins des salariés lambda.
Il intègre notamment un lecteur graveur de DVD double couche, le Bluetooth 4.0 et le Wi-Fi 802.11n à 2,4 GHz, un lecteur de cartes SDXC (64 Go maximum) et une carte graphique AMD Radeon HD 7340 en option.
Lenovo s’est en outre concentré sur des composantes primordiales, tout particulièrement le clavier, taillé pour une utilisation prolongée à en examiner les premières images officielles.
A noter que le pavé tactile, avec ses boutons proéminents, est généreusement décalé vers la gauche, laissant les droitiers jubiler… et les gauchers sur la touche.
Au chapitre logiciel, hormis ce centre de contrôle de Windows que l’on retrouve chez la plupart des constructeurs (Asus, Dell, HP, etc.), l’outil RapidBoot fait la différence.
La technologie sur laquelle il repose réduit le délai de démarrage du PC de près de 40% et maintient ces performances dans la durée.
Un gain de temps qui se ressent lorsque l’on allume sa machine, en déplacement ou le matin en arrivant au bureau.
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