Les avertissements pop-up sont ignorés par les internautes
Les utilisateurs sont le maillon faible de cette technique. Ils ne les lisent pas et tentent de s’en débarrasser au plus vite.
Une étude du département de psychologie de l’Université d’Etat de Caroline du Nord démontre que les utilisateurs d’ordinateurs ignorent la plupart du temps les fenêtres pop-up qui les préviennent d’un danger potentiel. Cinquante-deux étudiants ont reçu un ordinateur chacun et ont été exposés à quatre fenêtres pop-up les alertant d’un problème sur leur machine.
L’une était réelle, d’autres mentionnaient de faux avertissements sur l’exécution ou la fin d’un programme, et l’une d’entre elles émettait des flashs en noir et blanc en ajoutant une barre d’état au navigateur. Les étudiants n’ont pas été informés sur le but de l’expérience et pensaient évaluer des pages Web médicales.
A l’affichage de l’alerte, plus de la moitié des participants ont simplement cliqué sur « OK » dans la fenêtre, en un geste presque automatique. Le temps de réaction variait très peu selon le type de dialogue, ce qui suggère que les utilisateurs n’en assimilaient pas le contenu. Environ 12% des participants ont déclaré avoir cliqué sur le bouton « OK » de la fenêtre parce qu’ils pensaient que c’était ce qui leur était demandé par le message, et environ un quart des participants ont admis qu’ils procédaient ainsi avec toutes les fenêtres pop-up.
Des résultats peu optimistes pour Windows Vista
Plus de 40% des participants ont indiqué qu’ils souhaitaient seulement se débarrasser du message aussi rapidement que possible. Moins d’un quart des participants a tenté de fermer manuellement les fenêtres, et un participant sur six s’est contenté de placer chaque fenêtre en dehors de l’écran pour continuer tranquillement ses activités.
Les résultats de cette étude ne sont pas optimistes pour les systèmes d’exploitation comme Windows Vista, qui utilise intensivement les fenêtres pop-up pour protéger les utilisateurs. Ils mettent également en valeur un problème pour les administrateurs informatiques, qui doivent s’assurer que leur personnel ne télécharge pas de fichiers en provenance de sites infectés.
Une étude du département de psychologie de l’Université d’Etat de Caroline du Nord démontre que les utilisateurs d’ordinateurs ignorent la plupart du temps les fenêtres pop-up qui les préviennent d’un danger potentiel. Cinquante-deux étudiants ont reçu un ordinateur chacun et ont été exposés à quatre fenêtres pop-up les alertant d’un problème sur leur machine.
L’une était réelle, d’autres mentionnaient de faux avertissements sur l’exécution ou la fin d’un programme, et l’une d’entre elles émettait des flashs en noir et blanc en ajoutant une barre d’état au navigateur. Les étudiants n’ont pas été informés sur le but de l’expérience et pensaient évaluer des pages Web médicales.
A l’affichage de l’alerte, plus de la moitié des participants ont simplement cliqué sur « OK » dans la fenêtre, en un geste presque automatique. Le temps de réaction variait très peu selon le type de dialogue, ce qui suggère que les utilisateurs n’en assimilaient pas le contenu. Environ 12% des participants ont déclaré avoir cliqué sur le bouton « OK » de la fenêtre parce qu’ils pensaient que c’était ce qui leur était demandé par le message, et environ un quart des participants ont admis qu’ils procédaient ainsi avec toutes les fenêtres pop-up.
Des résultats peu optimistes pour Windows Vista
Plus de 40% des participants ont indiqué qu’ils souhaitaient seulement se débarrasser du message aussi rapidement que possible. Moins d’un quart des participants a tenté de fermer manuellement les fenêtres, et un participant sur six s’est contenté de placer chaque fenêtre en dehors de l’écran pour continuer tranquillement ses activités.
Les résultats de cette étude ne sont pas optimistes pour les systèmes d’exploitation comme Windows Vista, qui utilise intensivement les fenêtres pop-up pour protéger les utilisateurs. Ils mettent également en valeur un problème pour les administrateurs informatiques, qui doivent s’assurer que leur personnel ne télécharge pas de fichiers en provenance de sites infectés.