Bienvenu et salvateur en l’occurrence, le dernier coup de fouet de Google à l’adresse des Chromebooks intervient tardivement dans un processus qui s’apparente désormais à un sauvetage de meubles, au bonheur d’Acer et Samsung, seuls constructeurs à s’être lancés dans l’aventure.
A défaut d’avoir su entretenir la flamme d’une révolution annoncée à l’aube d’un été marqué de l’empreinte du cloud, le moteur de recherche, instigateur de concepts à ses heures, décrète l’ère du changement.
Les fondamentaux perdurent toutefois : le système est pour majeure partie hébergé à distance.
Il en découle la commodité d’un démarrage en moins de dix secondes (comparable aux ultrabooks), adjointe à des performances sur le long terme, les Chromebooks s’épargnant, de par leur principe même, les menaces virales, la fragmentation et consorts.
Soucieux d’instaurer une continuité certaine dans cet écosystème, Google a concentré ses efforts sur l’interface, agrémentée de quelques détails (répercutés notamment sur l’écran de connexion) qui pourraient effectivement faire la différence.
Pierre angulaire du système, le navigateur Chrome offre désormais une meilleure vision d’ensemble sur les applications, les favoris et l’explorateur de fichiers, plus particulièrement en local, malgré un espace de stockage conventionnellement restreint à 16 Go sur SSD.
Magasin applicatif intégré à ce butineur, le Web Store s’offre également un lifting, pour une transfiguration en douceur dont les effets se limiteront toutefois… aux Etats-Unis.
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