A l’initiative des réfractaires au tout numérique, l’impression mobile « à la demande » se décline tous azimuts.
LG tente une incursion sur le segment avec la Pocket Photo, une imprimante connectée sans fil, pour une utilisation en conjonction avec des smartphones.
Le dispositif intègre non seulement une interface Bluetooth, mais aussi, et c’est là son principal atout, un module NFC (Near-Field Communication).
Peu importe que l’une ou l’autre des deux solutions soit mise en oeuvre, les données sont transmises sur le même principe et à des débits comparables, mais la technologie à courte portée offre un degré supplémentaire de sécurité physique.
Vu son gabarit (12,1 x 7,2 x 2,4 cm pour 212 grammes avec la batterie rechargeable au lithium-ion) et sa dénomination évocatrice, la Pocket Photo est surtout destinée à coucher sur le papier des clichés tout juste capturés au vol.
D’une surface de 7,5 x 5 cm (ratio 3:2, format « passeport »), le papier se révèle en effet peu adéquat pour l’impression de documents.
Mais l’usage que LG confère à son produit est justifié, de par la qualité des capteurs photographiques qu’embarquent les smartphones d’aujourd’hui.
Le groupe high-tech coréen fait état d’une compatibilité de sa solution avec Android, mais semble faire l’impasse sur les autres plates-formes, notamment iOS.
Compensation ou continuité logique de l’offre, un logiciel de retouche comparable à Instagram est fourni en standard. Il permet l’application de filtres basiques, la superposition de flash codes et la surimpression de texte.
Signée Polaroid, la technologie de transfert thermique Zink ne requiert pas de consommable : l’encre, intégrée au papier, est révélée par échauffement du support.
Pandigital fut l’un des premiers constructeurs à intégrer le Zink dans l’un de ses appareils, en l’occurrence une imprimante photo filaire dotée d’un lecteur de cartes et d’un écran de contrôle LCD, pour quelque 150 dollars.
C’est dans une échelle tarifaire comparable (169 dollars) que la Pocket Photo investira en premier lieu la Corée du Sud, patrie de LG. Les feuilles sont vendues à part, pour environ 5 dollars la dizaine.
S’il est question de pouvoir matérialiser sur le vol des photographies lors d’événements, l’explosion des moyens numériques de partage semblent condamner à terme le concept.
Le champ des possibles paraît plus large sur le créneau du BtoB. Brother s’y est essayé avec une série d’imprimantes thermiques utilisant du papier blanc, photorésistant ou de carbone.
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